Lakhdaria, ex palestro
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Les Elections en Algerie
Campagne électorale des locales
14 NOVEMBRE 2007
La campagne électorale des locales à Lakhdaria, a enregistré hier dans la matinée une première participation, celle du HMS. En effet, une délégation conduite par sa “tête de liste” de wilaya, M. Hamou, accompagné de plusieurs candidats aux élections du 29 novembre et après un bref parcours sur l’artère principale de la ville, rue Si Lakhdari, s’est rendue à la permanence du QG de campagne situé au centre-ville. Préférant dans cette première phase le travail de proximité, le responsable qui était en compagnie d’un député du parti, a expliqué le travail d’approche retenu ainsi que les informations à transmettre aux militants. En plus de l’affichage de certaines listes de candidats tant pour l’APC que pour la wilaya, plusieurs permanences de partis ont été ouvertes et connaissent une animation plus ou moins timide. Pour la participation, en plus des partis engagés pour la wilaya, la commune de Lakhdaria aura à s’exprimer sur les listes des candidats du FLN, du RND, du FFS, du HMS, du FNA, du PT et d’une liste d’indépendants.
Ath Mouhoub
DEPECHE DE LA KABYLIE
Aït Ahmed aujourd’hui à Alger
1.09.2007
Le leader du Front des forces socialistes (FFS), Hocine Aït Ahmed, est de retour aujourd’hui au pays.
Selon des sources fiables, il devait atterrir aux environs de 14h au niveau de l’aéroport Houari-Boumediene à Alger. Comme de coutume, à chaque fois que le patron du FFS décide de rentrer en Algérie, beaucoup de militants et de sympathisants du parti sont attendus dès cette matinée à l’aéroport d’Alger pour lui réserver «un accueil des plus chaleureux» ajoute notre source. L’absence d’Aït Ahmed du pays a duré presque trois ans. En effet, la dernière fois que le président du FFS a foulé le sol algérien remonte au 31 octobre de l’année 2004. Sa venue, à cette époque-là, correspondait avec la célébration du cinquantième anniversaire du déclenchement de la Révolution. Toujours en 2004, Hocine Aït Ahmed avait annoncé dès son débarquement à Alger qu’il était porteur d’une «initiative politique» à laquelle il envisageait d’associer l’ex-secrétaire général du FLN, Abdelhamid Mehri, ainsi que Mouloud Hamrouche, ancien chef du gouvernement pour sa concrétisation sur le terrain. Néanmoins et au sujet de cette initiative, l’opinion publique ainsi que les observateurs de la scène nationale n’ont eu droit qu’à son effet d’annonce, et le patron du FFS est reparti dans son exil volontaire sans que son ambition ne voie le jour. En un mot, autant dire que cette fameuse initiative annoncée pompeusement en 2004 par Hocine Aït Ahmed relève de nos jours de l’histoire ancienne, et le président du FFS, s’il est de retour aujourd’hui au pays, c’est surtout pour prendre part aux travaux du 4e congrès du parti prévu jeudi prochain. Mais quel est donc le programme d’Aït Ahmed où sont mentionnés les déplacements et les contacts à effectuer au cours de son énième séjour en Algérie? A cette question, le chargé de presse pour la préparation du congrès du FFS nous répond que «les déplacements du président du parti sont tenus top-secret».Sans plus. D’autre part, si la principale raison justifiant la présence de Hocine Aït Ahmed à Alger n’est autre que la tenue du 4e congrès du FFS, il n’en demeure pas moins que le président du plus vieux parti d’opposition saisira, à coup sûr, cette opportunité pour mettre de l’ordre au sein de sa formation politique. Un vent de tumulte souffle depuis quelque temps déjà sur le FFS. Des critiques acerbes ont été formulées par les anciens du parti, que l’on désigne à tort ou à raison comme étant des contestataires à l’encontre de la direction actuelle du parti. Prenant ces critiques pour de sérieuses menaces, Karim Tabou, premier secrétaire du parti, aurait été amené, selon certaines sources, à faire appel à une société privée de sécurité en vue d’éviter tout débordement lors du prochain congrès. Les mêmes contestataires sus-indiqués ont également remis en cause l’information selon laquelle Mouloud Hamrouche serait pressenti à succéder à Aït Ahmed.
Cette information pourtant démentie par M. Tabou a déstabilisé plus d’un parmi les militants du FFS. Ce parti fait l’objet de rumeurs et de spéculations qui vont crescendo sur la place publique. Que serait donc la réaction du président du FFS face à une pareille évolution de la situation ? La réponse à cette question, on la saura dans les jour à venir.
Par Karim Aoudia
Le jour dalgerie
1.09.2007
BOUIRA
Le clanisme fait rage
27 Août 2007
La crise persiste au quartier général du FLN de Bouira. La récente désignation du nouveau mouhafadh a été un déclic pour une contestation qui était, jusque-là larvée et non dévoilée sur la scène publique. La contestation au sein du FLN de Bouira ne date pas d’hier. Elle remonte aux dernières législatives. La raison: la confection de la liste des candidats
A présent, au niveau de plusieurs kasmas, à l’image de celles de Bouira, El-Hachimia, Aomar et autres, la situation n’est guère reluisante. Les militants qui se sont acquittés depuis longtemps des droits d’adhésion au parti attendent toujours que de nouvelles cartes leur soient délivrées. «Une question de temps car tout devra rentrer dans l’ordre d’ici la rentrée sociale» rassure Mohamed Nouri, le nouveau mouhafadh de Bouira, contacté par téléphone. Celui-ci ne niera pas néanmoins le mécontentement qui règne actuellement dans les rangs du FLN de Bouira ainsi que la mésentente qui prévaut entre les membres du bureau de la mouhafadha avant même sa désignation en tant que premier responsable du parti dans cette wilaya. En ce qui concerne les préparatifs des élections locales, le mouhafadh a tenu a réitérer sa détermination à réussir le challenge et à contourner toutes les entraves pour redorer l’image du FLN à Bouira. «Nous sommes à pied d’oeuvre tant au niveau des kasmas qu’au sein du bureau de la mouhafadha. La première étape des élections a déjà pris effet. Actuellement, les adhérents voulant se présenter sont sommés de déposer leur dossier de candidature au niveau des kasmas à partir du 20 août jusqu’au 10 septembre. L’étude des dossiers des candidatures se fera du 11 au 25 septembre par le bureau de la mouhafadha auquel se joignent les députés et les sénateurs de la wilaya», a souligné le mouhafadh.
Par ailleurs, les contestataires de l’actuel bureau de la mouhafadha ne semblent pas lâcher prise. Au contraire, les mécontents ne cessent de multiplier les actions de protestation. Ils sont nombreux à demander le gel des activités du bureau de la mouhafadha et l’installation d’un comité ad hoc pour la gestion des affaires courantes du parti. Tout récemment, certains adhérents et cadres du FLN de Bouira s’inscrivant dans la mouvance des contestataires avaient, dans un communiqué rendu public, dénoncé certaines pratiques frauduleuses auxquelles se sont adonné les responsables locaux et hiérarchiques du parti lors de l’élection des membres de l’exécutif de la mouhafadha de Bouira. En ce sens, les signataires du communiqué devaient exprimer leur indignation en constatant que lors de ladite élection l’assemblée générale élective qui ne comptait que 262 membres avait donné lieu à 437 votants au moment du dépouillement des voix.
En somme, les conflits internes et le malaise qui taraudent les structures du FLN local depuis de nombreux mois déjà risquent de se corser davantage avec la rentrée sociale. D’ailleurs, les mécontents au sein du parti n’attendent que la fin des congés pour passer à d’autres actions en mesure de faire entendre leurs voix. Certains, en quête d’un siège ou d’une responsabilité quelconque au sein du parti comptent se repositionner à la veille des élections locales. Cela promet sans l’ombre d’un doute que la lutte au sein du plus vieux parti sera dure, très dure même.
Ali SEBAÂ
lexpressiondz
20 mai 2007
chronique de Chawki Amari dans Elwatan
Mars attacks
Les élections se sont déroulées et ce qui devait arriver est arrivé. Selon les informations qui ont circulé, si le scrutin s’est clôturé à 20h, les jeux se sont faits et défaits la nuit durant. Ainsi, on raconte que le RND était 5e à minuit et s’est réveillé 2e vendredi matin, que le MSP était 4e et le PT 2e à 22h. De même pour les autres, dont les scores ont changé en fonction des décisions de dernière minute. Tout cela est-il vrai ? A part les initiés, personne ne le sait et il est peu probable que les Algériens sachent ce qui s’est passé durant cette nuit. Ce que l’on sait par contre parce qu’on l’a vu à la télévision, c’est que Abdelaziz Belkhadem, chef du gouvernement, s’est réveillé vendredi matin lui aussi, mais avec une attitude particulière. Habillé d’un vêtement doré d’origine indéterminée et coiffé d’un turban que personne n’a vu ailleurs, il a tenu à faire sa déclaration officielle dans cette tenue, à l’adresse des Algériens et de la presse étrangère, qui a reproduit in extenso ces images d’un autre monde. Si bien sûr le costume cravate n’est pas forcément l’habit normatif et que les références ne le sont que pour ceux qui les suivent, Abdelaziz Belkhadem a posé un problème d’image. Que le chef du gouvernement adopte le costume de son grand-père, même si l’on est en 2007, il n’y a aucun problème, le retour à soi-même étant au fond une bonne chose. Mais ce turban, qui n’est ni un chèche, ni un guennour traditionnel, ni encore une araqiya, ne ressemble à rien. Que s’est-il passé dans sa tête ou au-dessus de sa tête ? Y avait-il un message particulier à faire passer ? Les avis divergent. Les uns parlent d’une lubie de dernière minute d’un chef de gouvernement en partance. Les autres d’un signal fort que les autorités veulent faire passer. Quel signal ? Les extraterrestres seraient prêts à envahir l’Algérie.
Commentaires entendu à propos de la tenue de Belkhadem pour les resultats des elections :
3awdoulou lekhtana
Chawki Amari
Un dessin vaut mille discours
lakhdaria route nationale 5 inondee | | |
الرئيس البرازيلي لولاداسيلفا | | |
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(c) Lakhdaria ex palestro - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le
20.01.2008
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