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ne nous contentons pas juste de barbouiller les frontons de nos mairies ou souhaiter la bienvenue à l'arrivée par nos contrées d'automobilistes souvent aussi pressés ....qu'analphabetes trilingues !, allons jusqu'au bout de nos efforts !!
Le cirque Il Florilegio à Bouira
01.09.2007
Deux représentations dans la soirée, et pour cause, la chaleur de la journée ne permet pas de faire travailler les animaux. Tigres, lions, crocodiles, chevaux, poneys, serpents et pour la première fois en Algérie, un hippopotame sont dans la ménagerie du cirque.
Depuis 2003, le cirque Il Florilegio se produit assez fréquemment dans plusieurs wilayas du pays à l’instar d’Alger, Tiaret, Chlef, Constantine, Béjaïa et Tizi-Ouzou, mais ce n’est que depuis le 27 août qu’il donnera des représentations à Bouira, et ce jusqu’au 7 septembre. Le cirque Amar ou Florilegio, de renommée mondiale, n’est plus à présenter, mais à Bouira plus que partout ailleurs, le grand public est longtemps resté sur sa faim en matière de spectacles de ce genre. D’après le directeur du cirque Max Togni, Bouira est une des seules villes kabyle, où il n’y a pas eu de représentation. Tout d’abord, le directeur qui a consenti à nous consacrer quelques minutes de son précieux temps, explique que le spectacle offert à Bouira est de qualité identique à ceux présentés en Europe. «Le cirque Amar est un nom qui fait écho dans la mémoire collective des Algériens, et ce en hommage au célèbre Ahmed Ben Amar lequel avec ses fils, a réussi le tour de force de créer un des plus grands cirques d’Europe», dira M. Togni, de la sixième génération des Togni.
Le cirque Il Florilegio bientôt à Bouira
Concernant les tarifs jugés de prime abord excessifs, le responsable précisera qu’en Europe, les prix pratiqués sont beaucoup plus chers qu’en Algérie : «Les places qui valent ici 200 DA sont tarifiés en Europe à 15 euros, celles à 900 DA équivalent à 35 euros, donc inutile de dire que les prix sont inabordables». Sous le chapiteau d’une capacité de 1 500 places, érigé après 20 heures de travail et où tout le monde met la main à la pâte. Impossible de reconnaître les équilibristes, les trapézistes, les dompteurs, les motards et encore moins les clowns. Personne n’a le temps de discuter, il faut que tout soit fin prêt pour la représentation de 18h00, avant celle de 20h30. Deux représentations dans la soirée, et pour cause, la chaleur de la journée ne permet pas de faire travailler les animaux. Tigres, lions, crocodiles, chevaux, poneys, serpents et pour la première fois en Algérie, un hippopotame sont dans la ménagerie du cirque. Des animaux qui sont très choyés par les soigneurs et dompteurs. Aucune négligence n’est permise, les serpents, parmi lesquels des cobras et des pythons sont dans des vivariums aérés ; l’hippopotame se prélasse dans un vaste bassin, les poneys et chevaux se reposent dans leurs parcs, les lions et les tigres sont dans leurs cages très propres, et les crocodiles sont cloîtrés dans un endroit sécurisé. Notre interlocuteur soulignera que sur les 100 personnes (artistes, techniciens, personnel d’accueil, caissiers, gardiens et administrateurs) 50 sont des Algériens. Il faut dire que les 30 semi-remorques, les 50 containers sont impressionnants à voir surtout lorsqu’ils forment plus d’un kilomètre de convoi. De la tournée 2006, il ressort que près de 300 000 spectateurs ont assisté aux spectacles du cirque avec pour retombées plus de 20 millions de dinars reversés à l’Etat sous forme de diverses taxes et impôts. Avec plus de 90 millions de dinars investis en Algérie, avec près de 30 millions de dinars versés à des entreprises algériennes (bateaux et transports routiers) et avec le recrutement de 50 Algériens, il n’est pas impossible d’aboutir à un transfert progressif du savoir-faire des personnels nationaux formés aux métiers du cirque.
Notons, enfin, que dans chaque wilaya où se produit le cirque, en partenariat avec les associations caritatives et les services sociaux, des spectacles sont offerts gratuitement au profit d’enfants issus de familles démunies, personnes handicapées ou malades. Déjà plus de 20 000 personnes défavorisées ont pu, deux heures durant, découvrir la magie et la fantaisie que procure le cirque.
Hafidh B
Zahouania enflamme la scène à Bouira
01 Août 2007
à quand une programmation de chabba zahouania à Lakhdaria ?
A Bouira, l’été 2007 diffère des autres saisons estivales où le néant se conjuguait avec la morosité de l’activité culturelle et artistique. En effet, contrairement aux années passées, depuis le début des vacances, les Bouiris sortent chaque soir pour assister à des galas et autres manifestations artistiques et même commerciales. Samedi dernier, c’était au tour de Zahouania de monter sur scène au grand bonheur des citoyens de Bouira qui ne croyaient pas que la star de la chanson raï tant attendue était bel et bien leur hôte. Jeunes et moins jeunes, enfants, femmes et personnes âgées, tout le monde était de la partie.
La grande esplanade jouxtant le siège de la wilaya s’était révélée trop exiguë pour contenir tout le beau monde qui affluait de partout. Egale à elle-même et accompagnée de musiciens chevronnés, la diva du raï réussit, sans trop tarder, à enflammer la scène face à une foule surexcitée qui reprenait des passages entiers avec la chanteuse. Ses fans, connaissant son répertoire sur le bout des doigts chantaient en choeur avec el hadja Zahouania quand elle interprétait Ya lalla ya tourkiya et plus loin encore Mazal nabghih...Il faut dire que l’assistance, en particulier des jeunes, qui dansaient comme des fous, n’était pas du tout d’accord que la fête arrive à sa fin alors qu’il était minuit passé.
Vers la fin du concert et avant de quitter la tribune, l’illustre Zahouania demanda juste «daâouat el khir» à ceux qui l’avaient longuement applaudie. Pour les mordus du raï, la soirée s’acheva dans une frénésie quasi générale. A quelques mètres de là, les marchands de glaces toujours ouverts, étaient à l’affût des centaines de consommateurs en quête d’une glace ou d’une boisson fraîche.
A. SEBAÂ
lexpression-dz
04.06.2007
Théâtre national amateur de Mostaganem
Phase régionale de présélections centre
Le théâtre communal de Lakhdaria a abrité durant trois journées, la phase régionale centre, des présélections du théâtre national amateur de Mostaganem.
Placé sous le patronage de l’APC de la ville, chef-lieu de daïra et animé par la troupe théâtrale “El Djebaha”, cette manifestation culturelle, devenue annuelle, a vu la participation de cinq wilayas à savoir M’sila avec 4 troupes, Boumerdès avec 2, Aïn Defla, Blida et Bouira représentée par une troupe de Sour El Ghozlane “Es Salam”.
Pour sa première journée, trois représentations dont “Joue ton jeu” présentée par la troupe de Boudouaou de Boumerdès qui a traité d’une façon pédagogique et comique un sujet d’actualité, la culture et sa préservation. Si au lever du rideau, l’affluence avait paru moyenne, en fin de soirée par contre, lors de la troisième représentation, la salle “Djerrah” était à son comble et affichait complet. Les deux jours suivants, plusieurs troupes, à l’instar de celle de Blida “Nawia” et d’“El Kalima” ont enthousiasmé l’assistance. Lors de la présentation de la dernière pièce par la troupe d’Ain Defla, nous avons rencontré deux mordus du théâtre qui nous ont interpellé sur la nécessité de réhabiliter la scène utilisée, prévoir le coin du souffleur et pourquoi pas désigner un responsable rétribué par la direction de wilaya de la culture.
S. Abdelkader
depechedelakabylie.com
5 Avril 2007
A cœur ouvert avec Mahfoud Fakir
Poète populaire, dramaturge, comédien, fervent animateur, bénévole, Mahfoud Fakir, que nous avons rencontré au niveau de la salle des fêtes “Djerah”, ancienne salle de cinéma à Lakhdaria où il exerce comme animateur —, rémunéré par l’APC —, a bien voulu, à cœur ouvert, se confier à notre correspondant, sur la culture son combat quotidien, ses projets à Lakhdaria ou ailleurs.
D. D. Kabylie :
D’entrée, je vous demanderai de bien vouloir vous présenter pour une meilleure connaissance de votre personne.
Je suis né à Guerrouma, une commune, dans le temps, isolée, un certain 17 mai 1958. Fils de paysan, et dés l’incarcération de mon père en 1959, mon grand-père, par crainte pour sa famille, nous ramena sur Lakhdaria.
Scolarisé jusqu’au secondaire à Lakhdaria j’ai rejoins les bancs de l’ITE à Tizi Ouzou où diplôme en main, j’ai enseigné durant cinq ans. En 1980, j’abandonne l’enseignement et m’exile à l’étranger, je suis partout : tout d’abord en Lybie, Tunisie puis l’Europe où j’assiste en spectateur les mouvements culturels, et ce sans y participer.
A 12 ans, alors que j’étais écolier, je fus choisi pour participer à une pièce de théâtre à Tizi Ouzou, ayant pour thème “la production” où nous avons décroché le premier prix. Remarqué par quelques éléments de la culture dans la région, qui préparaient le montage d’une pièce théâtrale “La bourgeoise”, ils m’ont fait appel et depuis, j’ai ressenti en moi telle une lumière dans le domaine du poème populaire.
Qu’avez-écrit comme pièces théâtrales et où les avez-vous présentée ?
Après une absence de quatre années, je me suis remis au travail et j’ai monté quatre pièces théâtrales en plus d’un duo et un monologue. Nous les avons présenté d’abord à Bouira puis au festival national du théâtre amateur de Mostaganem, et ce à deux reprises.
De quels sujets traitent vos pièces ?
Dans l’ensemble, c’étaient soit des sujets politique ou social, soit des sujets d’actualité.
En plus du théâtre, vous êtes un poète reconnu
Oui, effectivement, j’ai à mon actif plusieurs centaines de poèmes traitant de tous les domaines de la vie : son bonheur, ses joies, le malheur, la maladie, la vie, la mort que je lis à toutes les occasions où je suis convié. Je prépare actuellement un recueil de poèmes que je compte imprimer.
Dans votre action, rencontrez-vous, aide et encouragements.
Je n’attends rien, malgré les nombreuses promesses faites.
A mon avis, le poète, doit s’imposer réellement dans son domaine.
Votre dernier mot
Le poète a vraiment besoin d’un véritable espace de liberté où il pourra s’exprimer.
Ath Mouhoub
depechedelakabylie
Dimanche 01 Avril 2007
Hommage à Bettahar Mohamed
Le pionnier du chaâbi à Lakhdaria
En collaboration avec la Direction de la culture de la wilaya de Bouira, l’Association culturelle “Abderrahmane Thaâlibi” de Lakhdaria a rendu cette fin de week-end, un hommage à un des pionniers de la chanson et musique, Chaâbi en l’occurrence le défunt Mohamed Bettahar. Le jeune prodigue, né à Lakhdaria un 2 février 1948, a étudié dans sa ville natale. En 1964 alors qu’il avait 16 ans, son frère alors coiffeur dans un salon du café du peuple le prit comme apprenti coiffeur et lui achète par la même occasion une guitare. En 1966, il quitte Lakhdaria pour s’installer rue de Tripoli à Hussein Dey.
Là, tout en exerçant son métier, il adhère aux SMA et s’inscrit dans une école de musique à Ruisseau où côtoyant les cheikhs, il s’initie à cette musique tant désirée, le Chaâbi. Tous les lundis, journées de congé, il rentre dans son village natal où il inculque son savoir à plusieurs jeunes de Lakhdaria. En 1974, il dirige un groupe musical “Chaâbi” et participe au premier festival de musique Andalou tenu à Tlemcen. En 1984, malade et affaibli, il interrompit toutes activités et décède le 21 août 2001. A cet effet, un véritable marathan a été entrepris par la commission préparatoire de cette journée d’hommage à un des siens pour être fin prêt le jour “J”. Une fois de plus, les membres de l’équipe dirigeante de l’association ont démontré leur engagement pour une culture généralisée dans la région et leur savoir-faire et le succès obtenu ce jour, en est la preuve. C’est en présence du directeur de wilaya de la culture, du responsable de la commission culturelle de l’APW, du président de l’APC de Zberbar et d’un nombreux public, que la salle des fêtes “Djerrah” a vibré durant plus de 4 heures. Un programme riche en interventions a été présenté à une assistance de connaisseurs. En plus de la prestation du groupe musical de l’association de plusieurs récitals et d’une intervention de la chorale polyphonique de l’institut régional de la wilaya de Bouira, le groupe musical Aït Kara de Bouira a fait un véritable tabac et a été longuement ovationné.
Le point fort de la soirée a été sans doute la participation d’Abdelkader Cherchem, un véritable professionnel - un des anciens du Chaâbi ayant côtoyé le regretté maître de la chanson Chaâbi El Had M’hamed El Anka - et actuellement responsable d’une école de musique à Alger. Comme il a été remarqué la présence de El Hadi El Anka fils du maître, au scinte. Cette journée, véritable et vibrant hommage au disparu a redonné, selon plusieurs avis de personnes présentes, un nouveau souffle à la culture dans la région, et émettent le vœu de redoubler d’efforts et surtout travailler davantage sur la communication et l’information. Pour clôturer cette journée mémorable, plusieurs cadeaux symboliques ont été remis aux artistes invités d’Alger ainsi qu’à la famille du défunt. Nous avons appris de source locale qu’une visite de recueillement sur la tombe du regretté Cheikh Enador, de son vrai nom Saïdj Mustapha, enterré à Ouled Bellèmou dans la wilaya de Boumerdès et maître d’El Hadj M’hamed El Anka, sera programmée ultérieurement par El Hadi El Anka.
Ath Mouhoub
Depechedelakabylie
lire l'autre article ci dessous sur Cheikh Mustapha Nador de Ouled Bellemou ( Lakhdaria )
THEATRE
“Koul okda tenhal”
Mardi 07 Novembre 2006
Présélection pour le festival de Mostagamen
La pièce de Mahfoud Fakir fait un tabac
Classée en deuxième position de passage, après la troupe de Chéraga et qui a fait l’ouverture des présélections pour le théâtre amateur de Mostaganem, la pièce théâtrale du réalisateur Lakhdari, Mahfoud Fakir, a fait un tabac.
Jouée au niveau de la salle de cinéma “Djerrah” devenue théâtre communal, la troupe Djebaïlia de Lakhdaria, qui est la troupe la plus dynamique et la plus en vue de la wilaya de Bouira, a fait le plein, hier en nocturne, pour la présentation de sa pièce intitulée “Koul okda tenhal” (chaque nœud se défait).
Cette soirée de première a drainé un public très nombreux, attiré en connaisseur, par les prestations presque professionnelles des acteurs et surtout pour les valeurs artistiques. La pièce écrite par le talentueux Ahmed Dehniz, réalisée par Mahdoud Fakir dit Cheïkh (le maître) avec une scénographie de Hamid Massa, est une œuvre artistique de valeur comme rapportée par plusieurs adeptes de cette culture qu’est le théâtre, et qui durant 1h 10 mn, traite un sujet national d’actualité qui est la réconciliation prônée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika et repris par le peuple, pour mettre un terme à ce malaise que vit le pays.
La situation qui se déroule dans une maison, une famille représentant le peuple, dont la mère incarnant l’Algérie, et jouée avec une maîtrise remarquable du sujet, par le comédien Fakir, reconnu par tous comme la pièce maîtresse, est confrontée à une crise interne au sein de la famille, une désunion des frères, ce qui conduit la mère à une maladie, l’obligeant à s’aliter et donc à rester inactive. Voyant un danger imminent, un des frères, de retour au pays, s’implique dans la recherche d’une solution qui arrangerait toutes les parties et redonnerait vie et mobilité à la mère (l’Algérie).
Après plusieurs tractations et embûches pour avorter ce processus de réconciliation entre frères d’une même famille, la crise est enfin surpassée. Les enfants devenus unis, la mère guérie, c’est la fête. C’est une liesse, un bonheur qui a enfin repris ses droits dans cette famille.
Ath Mouhoub
depeche de kabylie
CINEMA
Un seul cinéma pour toute la ville, souvent hélas férmé, sauf pour des activités culturelles sporadiques, appellé pompeseusement DJERRAH au nom d'une montagne qui surplombe la ville et qui avait tant donné à notre pays durant la guerre de libération...merite mieux que ce destin.
on espere un jour annoncer une programmation réguliere içi.
Site sur le cinéma algérien
krimou 2000
L’Algérie produit sa première comédie musicale
Dahman Ouzid signe l’évènement
Pour la première fois depuis la naissance du 7e art en Algérie, la comédie musicale suscite, l’intérêt du monde cinématographique.
La boîte de production privée "Lotus film" propose un projet grandiose dans ce genre de discipline pour le compte du ministère de la Culture pour l’évènement "Alger, capitale de la culture arabe".
L’engagement de “Lotus film” dans une telle démarche a été accompli avec le concours d’une équipe remarquable. Le scénario de l’œuvre proposée, "La petite place vide dans l’immense cité pleine à craquer", a été écrit par Salim Aissa, auteur du film, El Manara, et du feuilleton El Ghaïb.
Le producteur du film, Khaled Souami, qu’on a abordé à l’improviste, hier, à Alger, nous informe que le thème du film traitera toutes les questions en rapport avec l’Algérie sauf celui du terrorisme.
"On n’est pas intéressé de produire un film sur le terrorisme. Mais l’on évoque essentiellement, à travers une comédie musicale, les problèmes que traversent les jeunes dans notre pays", souligne-t-il, sans vouloir trop s’étaler dans ses explications.
"Lotus Film" précise que cette comédie musicale avec des moments dramatiques très forts, présentera des chorégraphies et des chansons, dans la plus pure tradition des cinémas américain, indien et arabe dans ce genre.
Ce projet a été remis au réalisateur Dahman Ouzid qui a signé la mise en scène de El Ghaëb, en 2003 et Le retour en 2006.
L’équipe musicale qui veillera à l’exécution de la composition des textes sera composée des musiciens Cheikh Sidi Bémol alias Elho, Youcef Boukella et Redouane Bouhired.
Fazila Boulahbal
27.11.206
Danse kabyle
MUSIQUE
Mustapha Nador(1874/1926)
Musicien originaire du bled (
Ouled Bellemou , village mitoyen à Guergour,l'autre village d'ou est né notre Si Lakhdar ) méconnu par la nouvelle génération, c'est grace au site chaabi dialna que je l'ai decouvert, et j'espere contribuer à le faire connaitre à d'autres.
cliquer sur le lien ci dessus pour lire l'article consacré à cet artiste.
Musique orientale
Blog d'une charmante jeune artiste,native de notre ville, pour les amateurs de la chanson orientale.
et en plus, elle autorise le telechargement de ses chansons !
chabba SAIDA
LITTERATURE
HAMID NACER-KHODJA
Né le 25 janvier 1953 à Lakhdaria.
diplômé de l'Ecole Nationale d'Administration d'Alger, section économique et financière, promotion 1977 Frantz Fanon. Il a obtenu son diplôme d'études approfondies en littérature comparée à la Sorbonne en juin 2000 avec un mémoire intitulé : « Jean Sénac-Albert Camus, entre littérature et politique ». Sa thèse de doctorat toujours sur Jean Sénac a pour titre : « Jean Sénac devant la critique : du double à l'unité ». Cet intellectuel de haut niveau appartient à l'administration algérienne. Actuellement il est en poste à Djelfa. Marié il a cinq enfants. Le journalisme fait aussi parti de ses multiples activités. Il est membre depuis 1999 de l'Union Internationale des Journalistes et de la Presse de Langue Française. Il collabore à la publication canadienne l'Année Francophone Internationale dirigée par Guy Dugas.
Extraits de sa bibliographie : On retrouve ses œuvres dans : « Anthologie de la nouvelle poésie algérienne », Jean Sénac, Librairie St Germain des Près, Paris 1971. Cinq poèmes. « Jeunes poètes algériens », Jean Dejeux, Librairie St Germain des Près, Paris, 1981. Quatre poèmes. « Les mots migrateurs, une anthologie poétique algérienne », Tahar Djaout, OPU, Alger, 1984. Douze poèmes. Ses poèmes ont été publiés dans la presse algérienne francophone (El Moudjahid, La République, El Watan, etc.) accompagnés de nombreux articles sur son œuvre sous d'imminentes signatures (Youcel Mérahi, Djamel Amrani, etc). Ramdane Babadji et Achour Cheurfi lui ont consacré des notices bio-bibliographiques dans leurs travaux. Il nous parle de Jean Sénac dans : « Jean Sénac, Œuvres poètiques », Actes Sud, Arles, 1999. « Pour une terre possible », Marsa, Paris, 1999. « Jean Sénac, du poète obscur au poète solaire » in Le soleil fraternel, Jean Sénac et la poèsie algérienne d'expression française, Actes des Rencontres Internationales de Marseille, Editions du Quai Jeanne Laffitte, Marseille, 1985. « Jean Sénac devant la littérature : du mythe personnifié à la mythification littéraire » in AWAL, n°10, Paris, 1993. « Un peu d'eau pure au cœur de la tourmente, Jean Sénac et Emmanuel Roblès et ses amis », Actes du colloque de Montpellier, 1997. « Jean Sénac, érotique, poétique, politique » in Algérie Littérature Action, n°17, janvier 1998, Paris.
Timbre poste sur la poterie de la région, le couscoussier est l'ustensil de base de notre cuisine, quand au couscous local,va falloir organiser un concours Maghrebin pour savourer le meilleur!
Voulez vous savoir l'origine de vos noms de famille ? voici un article paru dans El watan dont je voulais vous faire découvrir, c'est long certes mais trés instructif, à imprimer ou telecharger :
Aux origines des noms de famille
Le patronyme est un support de notre identité. C’est un héritage familial inaliénable. Il nous parvient du fond des âges comme une chaîne qui nous lie à un ancêtre. A cheval entre la science du langage et l’histoire, ce nom si familier à notre mémoire recèle parfois le code d’accès qui perce le secret d’énigmes séculaires.
Il arrive que les noms résistent étonnament à l’effet du temps. Pour l’exemple, nous retiendrons Aouchich, Rezzoug ou Mazigh consignés par l’historien Hérodote dans son périple africain en 405 avant l’ère chrétienne. Nous proposons dans ces lignes une petite ballade festive et sans prétention savante dans cette heureuse association historico-identitaire que le lecteur attentif complètera selon ses besoins. Du point de vue de la loi, le nom de famille est un patrimoine protégé par le code civil. Il a valeur de propriété privée. La loi permet, en effet, de modifier ou de changer de nom, mais consacre son caractère personnel. Un changement de patronyme doit obligatoirement faire l’objet d’une publicité pour vérifier l’éventualité d’une opposition puisqu’il a valeur de propriété privée inaliénable. A sa naissance, l’enfant algérien reçoit deux noms propres : le patronyme de son père et un ou plusieurs prénoms. Les parents ont le libre choix des prénoms, mais l’enfant portera obligatoirement le nom patriarcal. L’ordonnance 75-58 du 26 septembre 1975 portant code civil considère le nom et les prénoms comme un attribut de la personnalité identifiant la personne. Cette ordonnance a permis la nomination des personnes qui étaient dépourvues de nom et identifiées sous « SNP » (sans nom patronymique). Depuis la publication de cette loi, les dépositaires des registres d’état civil sont tenus de ne pas reproduire ce sigle « SNP », lors de la délivrance des copies conformes des actes d’état civil. Dans cette première partie, nous nous pencherons sur quelques noms d’origine turque....
Istanbul, Istanbul...
Les liens de l’Algérie avec l’empire Ottoman apparaissent sur une multitude de noms de famille. Baba Ali désignait le fonctionnaire de la sublime porte, autrement dit « El Bab El Ali ». Tout comme de nos jours, il arrive qu’une personne soit désignée du nom de l’institution qui l’emploie. Jusqu’au XIIe siècle, le mot « porte » désignait couramment, le palais impérial sous le règne ottoman. Plus tard, il a évolué pour définir les quartiers du grand vizir, siège du gouvernement à Istanbul. A partir du XIIIe siècle, ce siège ne sera connu que sous le terme de la sublime porte. Pour de nombreux chercheurs, y compris le grand spécialiste de l’Islam, Bernard Lewis, le nom « Istanbul » a été adopté en remplacement de Constantinople à sa conquête le 29 mai 1453 par Mehmed Ali. En réalité, Istanbul est une simplification phonétique du nom original « Constantinopoolis » qui s’est édulcoré dans le langage populaire en Stanpool pour se stabiliser définitivement en Stanbul et Istanbul. Les signes particuliers ont été une source assez importante dans la formation des noms propres chez les Ottomans. Ainsi, sari qui définit l’homme au teint clair, blond ou roux, va se compléter par un préfixe et devenir Bendissari, Bensari. Tobbal qu’on confond souvent avec le joueur de tambour signifie le boîteux. Dali est la qualité de l’homme particulièrement courageux face à l’ennemi, autrement dit, « le téméraire ». Si on le définit comme « le fou », c’est dans le sens de guerrier intrépide. Il a donné les Bendali, les Dali Bey. Quant à Mami, il qualifie les Européens réfugiés en pays d’Islam notamment sous l’inquisition. L’homme frappé d’un défaut de langue est appelé tétah. De sobriquet, il devient un nom de famille. L’homme grand de taille est appelé ouzzou et devient Bouzzou. Sous l’empire ottoman, l’armée, pilier de la dynastie, était un grand pourvoyeur d’emplois. C’est pourquoi on constate tant de noms liés à la fonction militaire. Ainsi, Boumabadji, c’est le bombardier. Tobji ou bachtobji sont artilleurs ou canonniers. Quant à danedji ou dennane, c’est le maître des forges. Il coule les bouches de canons et les boulets des projectiles. Alemdar, tout comme Sandjak sont les porte-étendards. Raïs, c’est bien évidemment le capitaine du navire. Ghazi appartient à la caste militaire chargée de la garde des frontières de l’empire. Dans leur immense majorité, ils étaient turcs et parlant turc. Le yéni cheri qui a donné le mot janissaire signifie le « nouveau soldat ». Il était reconnaissable à son grand bonnet blanc. Baltadji, c’est littéralement « l’homme à la hache ». Il fait partie du corps d’armée affecté exclusivement à la garde du harem du sultan à Topkapi. Baïri est probablement un raccourci de bey raïs. La fonction juridique a donné kazi qui est une prononciation turque de Qadi. Kazi ouel et kazitani (Tlemcen) signifient « el qadi el awwal et el qadi etthani » premier et second juge. Hadji est un arrangement de hachti qui désigne le cuisinier. Il s’est largement répandu en tant que patronyme. L’officier de police se nommait Zabanti de l’arabe dhabet. Il devient patronyme en se déclinant Sabati. Zabanti survit encore sous l’appellation argotique de zbaïti, èquivalent de flic en français.
D’où viens-tu ?
L’origine géographique est une source importante dans la formation des patronymes. C’est une règle universelle. L’empire Ottoman avait, sous son contrôle, une mosaïque de peuples de l’Asie centrale, de l’Europe centrale, du Monde arabe et de l’Afrique du Nord à l’exception du Maroc. Le Qara-Bagh est une région du sud-ouest du Caucase. Elle donne les Karabaghli. Le suffixe « li » indique l’origine géographique. Menemen, décliné en Moumen est le chef-lieu de Kaza, dans la région d’Aïdin. Quant à la ville d’Izmir, elle a donné les Zemirli, Zemirline (Medéa, Tizi Ouzou, Alger Mostaganem), Kara signifie, le Noir. Entendons, le mat foncé. Ainsi, Karadeniz, c’est la mer Noire. Les habitants d’Albanie se nomment les Arouani. Le Kossovar donne Kosbi. Fochtali vient de Phocée. Il existe aussi les Fechtali en berbère il s’agit certainement d’une coïncidence linguistique. Khorci transcrit de plusieurs façons, indique le Corse, tout comme l’île de Rodhes a donné Rodesli. Djenoui vient de Gènova (Gênes). Venise se disait Ounis. Ses habitants se nomment Ounesli (Ounes = Venise et Li = originaire de...) Lounis et Ounissi. Il devient aussi El Ounès. Kherchi c’est le Crétois et Bouchnak, c’est le Bosniaque. Le port turc de Bodrum (ancienne Alicarnas de la haute antiquité) a tissé des liens avec la côte algérienne. C’est pourquoi on retrouve tant de Bedroni, Betroni, Bedrina, Trari, nom berbère appartient aux Trarast ; ensemble de tribus de la région du nord de Tlemcen entre la côte méditerranéenne et les monts Fellaoucen ayant Nedroma comme centre géographique. Les Traras regroupent Oulhaci, Jebbala, Msirda, Souahlya, Beni Khaled, Beni Menir, Beni Abed, Beni Warsous, et Mesahlia d’où sont, probablement, originaires les Mesli qui donneront Messali. L’Andalousie a fourni une multitude de noms. Le Galicien devient Ghennouchi. Ghennoudja, comme prénom, c’est la Galicienne toujours en vogue à Annaba et à Azzaba. Il en est de même pour l’exemple de « Olga » qu’on attribuait d’office à toutes les captives d’Europe centrale. Ce prénom slave devient Aldjia en passant par El Oldja qu’on retrouve couramment dans la littérature populaire. El Aychi et Ayachi sont les originaires de Ouadi Aych, le nom arabe de la ville de Cadix en Espagne une transposition de Ouadi Aych du Nejd, dans la péninsule arabique. Chebli, qui vient Chbilia, (Séville) et Gharnati de Grenade et Korteby de Cordoba. Le quartier El Blansa au centre de Blida indique une population originaire de Valence installée dans la nouvelle cité sous la protection de Sid Ahmed El Kebir. De même que les émigrés de Cadix vont fonder Oued Aych dans la périphérie de BLida vers 1510. Après la chute de Grenade en 1492, des musulmans et des juifs ont tenté de se maintenir en Andalousie. Ils ne quitteront définitivement leur patrie qu’après plus d’un siècle de présence dans la résistance et la clandestinité. Cette longue attente a eu des effets sur les noms. On retrouve ainsi des indicateurs d’identité dont la signification est parfois énigmatique. C’est le cas de Tchicou (El Chico), Randi, (El Grandé) Longo, le long, Gad el Maleh (Oued El Malah) .
Les arts et métiers
Les métiers et les arts sont une source de patronymes. Le tarzi, c’est le tailleur. Quand il est collé au préfixe « bach », il devient bachtarzi, autrement dit chef d’atelier dans l’art de la confection. Il est en lien direct avec Tellidji, le tisseur de brocard. Dans ce même corps de métier, on retrouve el kettani. Il fabrique la matière première, el kettan d’où dérive le coton. Le cordonnier se dit papoudji qui se prononce baboudji et parfois, il se dit tout simplement babou. Debbagh, c’est le tanneur et daouadji, le caravanier ou l’administrateur du caravansérail. Serkadji signifie le fabricant de vinaigre. Kateb et racim, noms prédestinés, désignent l’écrivain et l’artiste des arts graphiques. Quant à Sermadji, c’est l’industriel de la cosmétique et produits de beauté, en particulier le khôl, essentiel pour protéger la vue chez les marins et les caravaniers. Damardji s’occupe de la gestion de l’eau. Le sermadji se dit yantren et yataghen en tamazight car dérivant de iaattaren de attar. Tout comme ihaddaden désigne le forgeron et ioualalen, le potier. La guerre a aussi ses metiers, allag, en tamazight signifie le lancier et ghozzali (de ghozz) est un corps d’archers turkmènes venus à Tlemcen à l’appel de Youcef Ibn Tachfin pour renforcer la défense de la ville aux prises avec ses ennemis de l’Ouest. Dans son long poème consacré au tatoueur el ouchem, Ben El Messayeb évoque « bled er roum, bled el ghozz. » En ce qui concerne le nom « berbère » proprement dit, assez courant dans les milieux citadins (Blida, Médéa), il désigne le coiffeur en turc. On le retrouve aussi sous d’autres formes comme Barbar. Djerrah et Bachdjerrah, un mot arabe passé au turc désigne le chirurgien. Bestandji, jardinier, saboundji, savonnier, kahouadji, cafetier, halouadji, pâtissier, fnardji gardien de phare, Fekhardji, fabricant de porcelaine (équivalent d’ioualalen en berbère). Guerrache ou kerrache, c’est l’homme qui se consacre à lutte sportive. Et quand on dit mokdad il faut comprendre, évidemment, le guide. Des surnoms peuvent devenir des patronymes au point de faire oublier l’identité d’origine. Embarek est une déclinaison populaire El Moubarek. Cet homme fut un personnage illustre de Constantine originaire de Mila. D’où Embarek El Mili. Ahmed Ben Omar était nommé Cheïkh El Hadj Ahmed El Moubarek. Il est né à Constantine vers 1800 et vécu toute sa vie dans cette ville jusqu’à sa mort en 1870. Il appartenait à la confrérie des Hansalyya, implantée à Constantine par Cheïkh Ahmed Ezzouaoui. Grand savant de l’Islam. Il occupa la chaire de Djamaâ El Kebir et succèda au grand mufti Mohamed El Annabi. Il est révoqué du poste de magistrat du haut conseil par les autorités coloniales pour « intelligence avec l’ennemi » en raison des rapports secrets qu’ils entretenait avec le Bey Ahmed de Constantine. Il écrivit une quantité d’ouvrages parmi lesquels Histoire de Constantine, non publié jusqu’à ce jour. Il existerait deux exemplaires du manuscrit dans les fonds d’archives de la Bibliothèque nationale et l’ancienne Médersa d’Alger.
Ruines romaines et usures phonétiques
Bon nombre de noms de famille portent une marque latine sans équivoque datant de l’époque romaine. Ils se reconnaissent à la finale « us » prononcée et écrite en ouche. Maouch dérive de Marius. La chute de la voyelle médiane « r » et le suffixe ouch constituent une réhabilitation du schème berbérophone. C’est la même règle qui va transformer « Cassius » ou « Caïus » en Chaouche. Cette pratique latine ancienne qui fait terminer un nom par une finale « ouch » est encore vivace. C’est l’exemple de Mouhouch Saïtoche... On retrouve, aujourd’hui Titus conservé sous sa forme la plus latine avec une phonétique qui a gardé l’accent de l’époque antique Titous. Dans les régions est, le « t » s’est adouci en « d ». Mathieu et Mathias (père de la Kahina) deviennent Maâti. Quant à Saint Paul (Paulus) apôtre de Jésus, son nom se perpétue en Ballouche et Belhouche. Aurélius devient Allouch et Ouenjelli, est une légère dérive de Evangelii autrement dit, l’homme qui enseigne les Saintes écritures. En ce qui concerne Guechtouli, il s’agit d’Augustin. Memmius est un nom tout aussi classique de la période romaine et survit sous sa forme actuelle de Mammech. Hammadouch, si commun à Béjaïa et à sa région vient de Amadeus (aimé de Dieu) prononcé amadéouch en latin. Claudius devient Gaddouch. Jerôme subsiste en Guerroum et Kherroum et Grégoire de l’époque byzantine, se retrouve après 2000 ans en Guergour et Benguergoura. Driouche dérive de Andréouch (Andréus). Certains patronymes opèrent des modifications, des « usures » jusqu’à faire perdre le sens original. C’est le cas de Abdiche qui est un nom composé. Il faut scinder les deux parties pour découvrir ave deouch autrement dit « salut à Dieu » supplantant progressivement le respectueux Ave César qui était le « bonjour » classique de l’époque antérieure à l’avènement du Christ en Afrique. Cette rébellion à l’autorité de César pouvait conduire à la peine de mort. L’arabisation d’un nom d’origine latine ou berbère se fait souvent dans le but de donner un sens et rendre compréhensible le patronyme. Nous citerons l’exemple du toponyme Oued Messelmoun qui dérive de oued Ousselmoun tirant son nom d’une écorce recherchée par les marchands phéniciens pour la teinture des cheveux et du lainage. En y ajoutant un « m » au préfixe, le toponyme prend un sens identifiable. Les divinités carthaginoises ont aussi laissé des monuments de traces dans les noms de famille : Amon et Baal se retrouvent dans Hammou, Hammani, Baali, Bellil. De cette époque punique, on hérite de Kert et Kirat, qui signifie la cité. Aussi, retrouve-t-on des Benkirat et Boukirat pour nommer le citadin. Ce qui n’a pas de lien avec El Kirat arabe équivalent au carat grec connu des bijoutiers en tant qu’unité de poids et mesure.
Les noms Toponymiques
Bon nombre de noms de famille sont tirés de noms de lieux (toponymie). Il se trouve que tous les noms de lieux, de villes et village, de cours d’eau, de vallées et de montagnes portent des noms berbères à quelques rares exceptions. En comparant la carte d’Algérie avec celle de l’Espagne, on constate ce paradoxe : la toponymie espagnole est nettement plus arabisée que celle d’Algérie. Parmi les synonymes de montagne en berbère, on a Adrar et Amour qui vont donner Ammouri, Amraoui, Drari et Bouzina, un pic des Aurès. Le Touat qui traverse le boulevard de la date au Sahara était une région convoitée par le passé, de par sa position stratégique sur la route du Soudan. Cette riche région a donné les Touati. Oued Draâ, dans le sud-ouest a donné les Draï tout comme Metidja a donné les Metidji. Tayebi désigne un originaire de Tayiba (la douce) qui est la cité de Médine, qualifiée ainsi par le Prophète (QSSSL) . Aggoun, Laggoun, (ne pas confondre avec le muet en arabe) sont également des toponymes qui désignent un relief. (Plateau surélevé, plateforme dominante comme la Table de Jugurtha dans la zone est des Aurès. La part de la faune et de la flore est tout aussi importante dans la formation des patronymes. Ouchen, (le chacal), Aflelou (papillon) Ouar (le lion). Kerrouche le chêne ainsi que l’une de ses variétés le zane, (déformation phonétique de dhane) recherché pour l’industrie des arcs et les flèches. Depuis la nuit des temps, le corail sert de support identificatoire ; c’est le prénom Boussad, typique de Grande Kabylie (voir encadré). Quant à Bahmane, bien que le même patronyme existe dans les contrées iraniennes, en Afrique du Nord, il désigne une racine médicinale aux propriétés stimulantes.
Sur la piste des Banou Hilal
Le milieu du XIe siècle de J. C. a été marqué par une fracture politique significative entre les Zirides du Kairouan sous le règne d’El Moezz et le calife fatimide du Caire. En guise de représailles, le calife d’Egypte El Moustançar Billah lance sur le Maghreb les turbulentes tribus Banou Hilal et Banou Souleym. Ces vagues humaines originaires de la péninsule arabique allaient modifier durablement et structurellement les fondements sociopolitiques du Maghreb, de la Cyrénaïque au Maroc. Ibn Khaldoun consacre à cet épisode une partie essentielle dans sa volumineuse Histoire des Berbères. Guerriers redoutables, ils étaient originaires de la région de Ghazouan près de Taïf et pratiquaient la transhumance d’hiver et d’été sur les confins de l’Irak et de la Syrie. Ils émigrent dans la Haute Égypte sur la rive orientale du Nil. Au premier choc contre l’armée d’El Moezz, les Canhadja furent défaits et l’Ifriqiya livrée au partage. Ces deux grandes tribus issues des Beni Amer tirent leur légitimité de leur appartenance aux Beni Saâd d’où est originaire Halima Essaâdya, la nourrice du Prophète (QSSSL). A ces deux souches se rattachent des fractions, des clans et des familles dans une structure pyramidale. Parmi ces fractions, il y a les Djachem, les Athbedj, les Zughba (nombreux à Ouargla), les Kholt, les Sofyane, les Hamyane les Riyah, les Rabiâ et les Addi. Plusieurs familles vont se former à partir d’une fraction. Ainsi, les Riyah se divisent en Merdaci, Banou Attyya, Kerfali, Zemmam, Dhyab, Dhahhak, Hymmier. De ces familles, des figures vont émerger. Ibnou Abil Ghaïth (celui qui annonce la pluie) occupe Tunis avec son clan et perpétue son nom sous la forme actuelle de Belghiche et Belghith. De ces nombreuses tribus, nous retiendrons des noms comme Assam, Ayad (dépositaires des clés de La Kaâba) Muqaddem, Dridi, Douadi, Taâllah, Allahoum, Saâdallah, Rezkallah, Difallah, Khelfellah, Ata’illah (Ataïlyya), Brahimi, Brahmia, Benbrahim, Kerfali, Benyagoub, Abid, Aounellah d’où sont issus les Aouni, Chaffaï, El Amri, Sellami, Sakhri, Saâdani, Saïdani, Ben Cherif, Yahlali, Benhelal. Ouled Metaref (Metref) Ouled Salah (Salhi) Ouled Menia, Kraïche, Reddad, Attaf, Ouled Daoud, Ouled Ghanem, Ouled Rebbab, Ouennadi, Arif, Ouled Zian, Ouled Choaïb, Saâdi , Selmi, Slaïmi, La liste n’est pas exhaustive. Jusqu’au bouleversement colonial, ces familles et ces clans ont vécu, des siècles durant, sous le mode de production pastoral et sont restés fidèles à une sensibilité littéraire très proche des classiques arabes des temps préislamiques que recèle la poésie bédouine, en particulier.
L’estampille berbère
On dénombre deux formes constitutives des patronymes amazighs : maz et zagh. Il n’est pas exclu que le radical « zagh » soit relatif au teint de la peau et par conséquent à une forme de noblesse de sang. Le fondement maz va former une longue série de noms : Mazouni, Mazouna, Mazari, Mezghich, Mzali, Mezali, Mazi (Naït Mazi) Messis, Mezghenna et même Massinissa qui est un nom amazigh adapté au prononcé latin par les historiens Tite-Live (troisième décade) et Salluste (La guerre de Jugurtha). On retrouve dans Massinissa le radical maz qui peut laisser penser qu’il s’agirait à l’origine d’un nom proche de Mazghenni. Le débat reste ouvert. Ce préfixe se modifie dans les dialectes du Sud algérien pour devenir madh (Aïn Madhi). De même que le mot tamazight devient, chez les zénètes du sud, tamachek de même que l’oasis de Djanet est issue vraisemblablement de zénète. Avec le second radical zagh, on liste les Zaghbib, Benzaghou (berbère Masmouda), Zaâmoucha, (la finale moucha rappelle Moussa) Zaâmoum, Zaghrani, Sakrani, Bouzeghrane, Zerouali, Zaghidour, Zeggar, Zaccari (djebel Zeccar) Zouccal, Zerari, Zighi, Zeghbouche Zaghouane, Zaghloul (Djaghloul dans le parler zénète), Zeggaï, Izghen, Zeghni, Segni, Rezzag, Rezzoug, Rzighi etc. Les patronymes berbères ont conservé la nomination des origines tribales fondatrices répertoriées par Ibn Khaldoun : Zemmouri et Meskouri, Soumati, Merniz, Oulhaci sont des familles des N’fousa. Fetani, Mediouna, Maghili se rattachent au même ancêtre éponyme, Faten fils de Tamzit, selon Ibn Khaldoun. Mais il est fort probable que tamzit serait une contraction de tamazight. Les Semghouni, Zenati, Zouaoui, Meknassa, Foughali ont la même filiation berr. Dans la chaîne des Bernis, on retrouve les Canhadja, les Arouaba, les Djazouli, Ghoumari, Masmouda.
Les noms écorchés
A partir de 1871, l’administration coloniale a systématisé le registre de l’état civil. Ce travail correspond à la phase active de la colonisation avec l’arrivée des civils réfugiés d’Alsace et de Lorraine. C’était aussi le début des troubles en France avec la commune de Paris, les révoltes des Hananchas et le soulèvement dans les Babors à l’appel d’El Mokrani. Les années 1870 seront celles de la plus terrible famine qu’a connue l’Algérie avec une mortalité estimée à deux tiers de la population. Ce recensement avait donc pour objet d’organiser l’expropriation des terres « évacuées » de force par les Algériens. Il faut reconnaître que les erreurs de transcription n’ont pas été nombreuses.. Bien qu’ils soient rares, ces noms méritent une réhabilitation. Ainsi, Dzanouni est une transcription hasardeuse de Sahnouni qui désigne l’adepte de Sidi Sahnoun, Imam du Xe siècle. Il a été à l’origine de l’enracinement au Maghreb de la doctrine malékite. C’est à cet Imam que El Hadj M’hammed El Anka consacre sa fameuse pièce Sidi Sahnoun.
Les confréries et les tribus
Les nombreuses confréries religieuses ont été facteur de cohésion sociale à des moments précis de l’histoire. C’est ainsi que la Kadiriya, Chadiliya, Rahmaniya, Ammariya, Aïssaouiya, Hansalya ont donné Kadri, Chadli, Rahmani, Lammari, Aïssaoui, Hansali. Nous recensons aussi une multitude de noms qui font référence à une tribu de rattachement, Nemmemcha, Hrakta, Frarha, Dharissa, Zenata, Djeraoua. C’est pourquoi on retrouve dans la liste des patronymes les Nemchi, Harkati, Ferrah, Deriassa. Souibes est une déformation de Thabet (tribu des Kotama installée sur les hauteurs de Dellys). Dahou est une abréviation de Dahmane, dérivé de Abderrahmane. Les Dahou se rattachent à l’autorité spirituelle de Sidi Dahou Ben Dherfa dans les Beni Chougrane. On relève parfois des noms énigmatiques comme le cas de Baouya. Il s’agit de deux initiales « El Ba Ouel Ya », autrement dit « B.Y. » qui pourrait être « Ben Yamina » ou Ben Yagoub. Le mystère reste entier.
Débarquement français à Jijel
Le 21 juillet 1664, sous le règne de Louis XIV, une flotte française commandée par le duc de Beaufort débarque à Jijel en vue d’une implantation en concurrence avec les Espagnols qui occupent Oran. L’aventure tourne mal pour les marins français affaiblis par les fièvres, la malaria et les attaques incessantes des montagnards. Le 1er novembre de la même année, le corps expéditionnaire français est forcé de quitter la ville sous un déluge de feux de l’artillerie turque. La marine française abandonne sur les rivages des blessés, des malades et une quantité considérable de matériel de guerre. Ils étaient normands, picards, bretons, anglais, hollandais et maltais. Ils ont été adoptés en raison de leur savoir technique : charpentier, bourrelier, spécialiste des cordages, de la navigation. Soignés et nourris, ils passeront chez le coiffeur pour le rituel de la circoncision et s’intègrent dans la population. Leurs descendants se reconnaissent à leur type européen prononcé et leurs patronymes plus ou moins berbérisés ou arabisés. L’événement a eu des effets durables sur la génétique mais aussi sur les noms propres : Dupres, Oudin, Belle-Gueule, Beaufort, Bourbon qu’on devine, aujourd’hui, sous des patronymes parfaitement algérianisés.
remerciments à
Rachid Lourdjane
UN FIL SUR UN FORUM OU ON PARLE DE GENEALOGIE QUI PEUT CONCERNER LES SAHNOUNES
recherche ancetre commun des Sahnoune
n°37
ugly59
kamal en force
Profil : Doctinaute Hors Compétition
Posté le 15-06-2005 à 13:27:00 profilanswer
les Sahnoune, c'est un clan algérien du coté de ma mère, beaucoup se sont barré en France, pendant la guerre d'Algérie, plus particulièrement à Marseille. Pour qu'il yen ai autant comme ça, il doit y avoir un ancêtre commun, et c'est ce que recherche, si qqun pourrait m'aider.
Message cité 1 fois
n°90
invite_lal asa34
Invité
Posté le 18-07-2005 à 23:06:44 answer
ma famille est du coté de Sétif. les sahnoune viendrait du désert pour ce qui concerne mes ancètres. Trois frèrs orphelins qui ont changé de vie suite à des problèmes l'un d'eux aurait changé de nom mais je ne sais pas lequel. je ne pense pas avoir de branche commune avec les sahnoune de marseille. beaucoup de sahnoune également en région parisienne.
mon mail ghost_off@wanadoo.fr j'attends de tes nouvelles
n°205
invite_avi sar
Invité
Posté le 16-09-2005 à 00:13:39 answer
je suis de kabylie (côté soummam)où il y a également plusieurs familles sahnoune ainsi qu'une zaouia.on raconte que les sahnoune, descendants du prophète (comme tous les bons musulmans!)sont partis d'Arabie à une époque où les chevaux volaient sur un coussin d'air ( on n'avait pas encore inventé le turbo mais le coussin d'air si). Ils étaient également 3 frères (bizard car on ne parle jamais des femmes). Je suppose alors qu'ils trouvaient les femmes plus belles en afrique du nord,soit en berbérie.l'un d'eux s'y est donc établi et a donné la peuplade sahnoune à toute la petite kabylie. l'autre aurait continuer son chemin et s'est étali de l'autre côté du Djurdjura en grande kabylie. le 3ème, probablement plus jeune et plus courageux, serait allé beaucoup plus loin jusquà la Jamâa ath saridj ville probable du sud marocain ou du sahara occidental. Ma grand mère, centenaire à son décé ( morte il y a plus de 30 ans) semblait certaine de ses affirmations. concernant les sahnoune parisiens ou marseillais, ils ont sûrement des histoires differents à raconter mais toutes aussi interessantes. Il faut qu'ils l'expriment eux mêmes, ce serait tellement interessant. je pense que la presence des sahnoune en france ne peut s'expliquer par le simple fait de la guerre, l'europe a commencé l'importation de chaire humaine ( à canon d'abord, puis au charbon et au feu des acieries par la suite, dès 1936, periode de misère propice à l'exploitation des "indigènes", ces hommes qui peuvent mourrir loin de leur famille et qu'on disait dépourvus de sentiments.
chaque sahnoune, comme chaque être a son histoire, ça fait un monde.
n°389
invite_kar im69sahnou ne
Invité
Posté le 25-11-2005 à 18:11:38 answer
moi je suis un SAHNOUNE mon pere est chaoui de OUM EL BOUAGHI et ma mere de CONSTANTINE donc si jai des cousins ou des cousines que je connais pas pourquoi pas.... je suis de lyon
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n°990
invite_sah noune
Invité
Posté le 17-06-2006 à 17:33:38 answer
invite_karim69sahnoune a écrit :
moi je suis un SAHNOUNE mon pere est chaoui de OUM EL BOUAGHI et ma mere de CONSTANTINE donc si jai des cousins ou des cousines que je connais pas pourquoi pas.... je suis de lyon
Je suis un SAHNOUNE et je suis originaire de Lakdaria
n°1205
invite_ami ne hlou
Invité
Posté le 30-08-2006 à 12:52:59 answer
la famille sahnoune est une grande famille,car notre encetre est venue en algerie il ya plus de dix ciecle d'arabie, il est entrer en almgerie a travaer sakia el hamra(le sahara occidental) est c'est installer a chelef a 200km d'alger la ou il est enteré avec son fils et sa femme,il avai 7 enfants un est mort dans un conflit avec les hmis'les encetre des sidi mamar et 06 se sont reparite sur le teritoir algerien sous son odre afin de propager l'islam ,notre encetre été un grand daia c'est a dire il ensegnier l'islam et a ecit plusieur livres dont sidi abderahmane el taalibi le wali salah d'alger a etudier apres plus de six ciecle,et nous devrions etre fier de notre nom car les sahnoune sont de merabet et c'est une grande famille,dailleur avnt le terorisme caque anée la premier seaine de sepetmbre yavai la wada de sisi sahnoune ou tous les sahnoune de tous le trritoir venai et se rencontrai c'estai impresionant et tres beau car nous somme une tres grande famille,ont trouve les sahnouen en kabiye a azefoune et a tizi a chlef a alger a mascara a ourgla et a gualma,les decendant directe de son fils nomé otmane se trouve a alger (bouzareha et belcourt) le cuge des sahnoune a lager
Message cité 1 fois
n°1291
invite_sah noune
Invité
Posté le 30-09-2006 à 18:04:10 answer
bonjour mon nom de famille est sahnoune j'ai trouvé des infos qui remonte il me semble au v siecle sur les ouled sahnoune il vivaient à l'epoque dans les Aures si vous tapez sahnoune +aures sur internet vous trouverez pour ma part ma famille se trouve a Ales dans le gard et le reste à Paris et sa banlieu nous sommes de Bougàa prés de setif et nos parents sont née a ain-turc notre famille j'ai rencontré il y a peu une famille sahnoune originaire du maroc.
n°1447
invite_sah nounhocine @yahoofr
Invité
Posté le 13-12-2006 à 16:56:21 answer
ugly59 a écrit :
les Sahnoune, c'est un clan algérien du coté de ma mère, beaucoup se sont barré en France, pendant la guerre d'Algérie, plus particulièrement à Marseille. Pour qu'il yen ai autant comme ça, il doit y avoir un ancêtre commun, et c'est ce que recherche, si qqun pourrait m'aider.
n°1448
invite_sah nounhocine @yahoofr
Invité
Posté le 13-12-2006 à 16:58:39 answer
[bien sur les sahnoun sont partout et l'encetre est commun
n°1537
invite_rac hid sahnou ne
Invité
Posté le 16-01-2007 à 11:45:46 answer
Bonjour à tous,
Moi je suis un sahnoune du Maroc, ce nom de famille n'est pas le mien puisque c'est mon oncle qu'il a adopté par proposition du bureau d'état civil au Maroc à l'occasion de sa migration en ville.
Mon père l'a adopté par la suite à l'occasion de sa migration également.
Mes deux autres oncles qui habitent encore aujourd'hui à la montagne de l'atlas ont gardé leur nom d'origine (ait ighirane) c.à.d tribu de ighirane que je ne sais pas d'ailleurs ce que ça veut dire (si quelqu'un peut m'éclairer cela me ferra un grand plaisir).
Aujourd'hui nous sommes nombreux au Maroc, mes frères et soeurs, mes cousins et leurs enfants à Marrakech et à Agadir.
Moi je suis arrivé en France en 1995 et j'ai trois enfants sahnoune qui ne sont pas des sahnoune ... je dois leur expliquer tous cela pour ne pas les induire en erreur comme mon père me l’a expliqué.
J’ai également un frère en France
Donc attention ! Derrière un sahnoune peut se cacher un ait ighirane
Avoir un nom de famille sahnoune ne veut pas forcement dire qu'on est descendant sahnoune.
n°1677
invite_ram o sahnoune
Invité
Posté le 09-04-2007 à 20:15:58 answer
Bonsoir,
J'ai lu avec bcp d'intérêt votre article. Auriez vous des informations sur la branche marocaine des sahnoune?
Où pourrait on trouver des informations sur l'arbre généalogique des sahnoune depuis leur départ d'arabie ?
Je suis moi même un sahnoune, berbère du sud marocain.
Merci bcp.
Très cordialeemnt
invite_amine hlou a écrit :
la famille sahnoune est une grande famille,car notre encetre est venue en algerie il ya plus de dix ciecle d'arabie, il est entrer en almgerie a travaer sakia el hamra(le sahara occidental) est c'est installer a chelef a 200km d'alger la ou il est enteré avec son fils et sa femme,il avai 7 enfants un est mort dans un conflit avec les hmis'les encetre des sidi mamar et 06 se sont reparite sur le teritoir algerien sous son odre afin de propager l'islam ,notre encetre été un grand daia c'est a dire il ensegnier l'islam et a ecit plusieur livres dont sidi abderahmane el taalibi le wali salah d'alger a etudier apres plus de six ciecle,et nous devrions etre fier de notre nom car les sahnoune sont de merabet et c'est une grande famille,dailleur avnt le terorisme caque anée la premier seaine de sepetmbre yavai la wada de sisi sahnoune ou tous les sahnoune de tous le trritoir venai et se rencontrai c'estai impresionant et tres beau car nous somme une tres grande famille,ont trouve les sahnouen en kabiye a azefoune et a tizi a chlef a alger a mascara a ourgla et a gualma,les decendant directe de son fils nomé otmane se trouve a alger (bouzareha et belcourt) le cuge des sahnoune a lager
n°1723
sahnoune t el
Invité
Posté le 09-05-2007 à 23:30:36 answer
Bonjour,
Sachez que moi aussi je suis un Sahnoune de Tlemcen,
L’histoire qui reviens souvent et que notre ancêtre sidi sahnoune c’est installer a chlef (200km a l'ouest d'Alger) il y a quelque siècle de cela afin de propager l'islam et fit la meme chose avec ses fils puisque il leurs ordonnât de parcourir le territoire « MAGHREBIN »afin de propager l'islam.
Pour ma part je sais que les cousins directs de mon GP sont installés à Marseille.
n°1787
metlilli
Invité
Posté le 20-06-2007 à 16:44:33 answer
Bonjour tout le monde..
je viens des aures et je me suis renseigne aupres de ma defunte grand mere sur mes origines. Jai appris que mon arriere arriere grand mere appartenait a ouled sahnoun: tribu originaire du sahara.. Une partie se serait installe a oued el louza( amandier pres d'un oued) puis a seggana dans les aures..
Apres des recherches sur internet, sahnoun serait originaire de touggourt dans le sahara et serait une tribu berbere ......
Voila si certain(e) sont originaire des aures( seggana, barika, ain touta...)
a bientot
n°1845
Souleiman
Invité
Posté le 11-07-2007 à 22:49:02 answer
je suis un sahnouni.les ouled sahnoune habitent BARIKA à 19 Km de Seggana.
si vous me donniez le nom de votre aïlleule, je pourrais vous trouver des parents.
nous sommes très hospitaliers,généreux et accueillants.
A bientot METLILI(c'est une montagne près de BARIKA)
n°2076
ugly59
kamal en force
Profil : Doctinaute Hors Compétition
Posté le 28-09-2007 à 16:18:18 profilanswer
intéréssant ce que vous dites, je connaissais pas l'histoire de cet ancetre.
mais entre sidi sahnoun et la tribu des ouled sahnoun ya un lien ou pas ?????
et j'aurais bien des origines chaouis non ?
Message édité par ugly59 le 28-09-2007 à 16:19:16
n°2133
komikabyle
Posté le 11-11-2007 à 21:00:52 profilanswer
salut à tous :D
je suis moi même un sahnoune.
les sahnounes à l'origine c'est des syriens juifs,maintenant on l'es trouve en kabylie,ils sont de type européen...
Message édité par komikabyle le 11-11-2007 à 21:01:50
Suite de la discussion sur :
http://forum.doctissimo.fr/viepratique/genealogie/recherche-ancetre-sahnoune-sujet_9_1.htm
Lalla Yamina
la doyenne de Bouira
La Journée nationale des personnes âgées est, de toutes les journées nationales ou internationales célébrant tel ou tel événement, le rendez-vous le moins fêté.
jeudi 28 avril 2005.
Toutefois, cette date, 27 avril, n’est pas passée totalement inaperçue.
Machinalement, dans un élan qui relève plus d’une mécanique pavlovienne que d’un intérêt réel et affectif à nos vieillards, la direction de l’action sociale (DAS), et sans même médiatiser l’événement, a marqué la journée. La DAS -nous ne l’apprendrons pas de ses services- a convié hier la doyenne de la wilaya de Bouira, Mme Yamina Boussallah, âgée de 115 ans. La plus vieille citoyenne de la wilaya est, selon son acte de naissance délivré par a commune de Lakhdaria (ex-Palestro), née le 8 mars 1890, une journée qui coïncide avec la journée internationale de la femme. Mais en ce 8 mars 1890, la femme n’existait quasiment pas.
A. Mouhoub/B.B.,depechedekabylie.com
article repris sur le site
http://matoub.kabylie.free.fr