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Lakhdaria, ex palestro 
 
 
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Bientot, l'autre Eau naturelle de la Region, Lalla Khedidja, va faire une nouvelle offensive commerciale à travers le territoire national. 
 
 
 
 
La baguette de pain est chere ? Mangeons des Brioches ( elberiouches ) ! l'Eau courante est "lachée" tous les 15 jours ? Buvons Ifri et Lalla Khadidja !! et on dit merci qui ? Rebreb bien sur !! 
 
 
 
 
 
L'autoute est ouest est un grand chantier au niveau de la wilaya de Bouira ( ponts et viaducs ) 
lire l'article ci dessous sur le reseau routier de la wilaya de Bouira dans son ensemble, trés instructif. 
 
 
 
Banques
 
 
CNEP LAKHDARIA 
CITE DES 39 LOGTS RN 5 LAKHDARIA 
tel 026 90 11 68 
fax 026 90 11 55 
l'agence Cnep de Lakhdaria a changé et ces coordonnées ne sont plus à jour, l'agence se trouve plutot vers les hauteurs de la ville, mitoyenne du Lycée Si Houes. 
 
Service de reception d'argent Western Union 
 
 
 
 
BDL 
Cité des 39 Logts .route de la Daira, 
(026) 90.11.34, (026)90.10.85  
 
BADR 
Banque de l'agriculture et du deveollopement rural,spa 
rue si lakhdara,n°5 lakhdararia 
26 90 12 22 
26 90 10 39 
 
 
 
CPA  
Crédit populaire d'algérie,spa 
cité 39 logt, route N°5, lakhdaria 
26 90 12 17 
26 90 10 56 
 
CRMA 
Caisse regionale de mutualité agricole 
 
cité 5 juillet,10200 lakhdaria 
tel 26 90 39 59 
26 90 64 24 
 
 
 
 
 
ENTREPRISES D'ETAT
 
 
Entreprise Nationale des Peintures 
 
BP78 
10200 Lakhdaria Bouira Algeria. Tel: 213 26-90 11 44 213 26-90 12 44 fax 026 90 10 93 
peintures@enapdz.dz 
 
 
ENIE Lakhdaria 
( service aprés vente ) 
N°23, Centre Commercial 
tel 026.901.025 
 
 
 
 
 
Assurances
 
 
 
 
Agence CAAR  
215 Cité des 39 logts RN N°5 BP 127  
lakhdaria 
024.90.12.76 024.90.10.53  
 
SAA 
RUE COMMANDANT SILAKHDAR  
026 90.11.80 90.11.80  
 
CNAS 
 
Caisse nationale des assurances sociales 
 
cité 39 logts, 10200 lakhdaria 
tel 213 26 90 12 00 
 
 
 
PME ( Petites et moyennes entreprises )
 
 
 
HUILERIES
 
 
KANDI OLIVE 
R N N°05 Lakhdaria 10200  
tel 2690 4040  
Fax 2690 1302  
Email: kandiolive@yahoo.fr  
 
Fabrique de Chaussures
 
 
SAPLASC  
FABRICATION INDUSTRIELLE DE CHAUSSURES TIZI EL BIR 
10100 LAKHDARIA  
Tel : 213 26 90 26 66  
Fax : 213 26 90 16 47  
 
 
CABINETS COMPTABLES
 
 
Cabinet comptable 
khalifati abdelrazak 
14 rue abanne ramdane 
lakhdaria tel 26 90 22 57 
 
PARAPHARMACIE
 
 
SA PHARM,Sarl 
5, rue Si Lakhdar 
10200 Lakhdaria 
 
213 26 90 33 92  
213 26 90 12 38 
213 26 90 16 98 
213 26 91 27 92 
Fax : 213 26 901698  
 
ELECTRICITE GENERALE
 
 
ADDAR SAÏD 
Electricité et gaz 
Cité 94 logts., Bt 01 n° 86 
 
AGGOU NOURREDINE 
Electricité et gaz 
Rue Abtout Mohamed 
 
BARR ET FRÈRES SNC 
Electricité et gaz 
10, rue Guendouz 
 
BETTAHAR SNC 
Electricité et gaz 
Adresse : 40, rue Dechoune Mohamed 
 
BOUDERBALA MOKHTAR 
Electricité et gaz 
Village Bouderbala, Lakhdaria 
 
BOUDJEMÂA MOHAMED 
Electricité et gaz 
El Adjiba-Centre 
 
CHEBBI H. 
Electricité et gaz 
Selloum Aghbalou 
 
DJOUABI MOHAMED 
Electricité et gaz 
Village Ahnif Guerrouma 
 
ELEC & GAZ SNC 
Réalisation des travaux électricité et gaz 
Cité 104 logts., Douar El Bordj 
Tél : 026 93 87 71  
Fax : 026 93 87 71 
 
ENTREPRISE D’ÉLECTRIFICATION RURALE ET GAZ SPA 
Electricité générale et gaz 
Zone des Parcs, BP 273, 10 000 
Tél : 026 93 07 83 026 93 79 79 
Fax : 026 93 43 87 
 
ENTREPRISE TRAVAUX D’ÉLECTRICITÉ 
Electricité générale  
Rue de la Gare, Kadiria 10 260 
Tél : 072 22 12 93 071 92 93 82 
Fax : 026 90 05 69 
 
ETHP BENGHARBI 
Electricité et gaz 
Cité Moulouk 246 logts., Tr. n° 3, Aïn Bessem 
 
ETUHP (ABBAS HOCINE) 
Electricité et gaz 
Hagui El Adjiba 
 
(SAOUDI SAÏD) 
Electricité et gaz 
Ighrem Ahnif 
 
HADDAD ABDELATIF 
Electricité et gaz 
M'chedallah-Centre 
 
HADIOUCHE MENAD 
Electricité et gaz 
Aïn Laloui 
 
HADIOUCHE NACER 
Electricité et gaz 
Rue Missoum Laïd n° 1, Aïn Laloui 
 
IDIR RABAH 
Electricité et gaz 
Ahl El Ksar 
 
IDJOUBAR AMAR 
Electricité et gaz 
Selloum Aghlalou 
 
LUMIÈRE LAKHDARIA SARL 
Réalisation de travaux électriques 
Rue des Frères Meddor, Lakhdaria 
 
MOHAMEDI LAKHDAR 
Electricité et gaz 
Aïn Hdjar 
 
NACEF TAYEB 
Electricité et gaz 
Cité 221 logts. n° 50, Bir Ghbalou 
 
ZEMOURI MOHAMED 
Installation de réseaux d'électricité et gaz  
3, rue du CEM Dermouche, Lakhdaria 10200 
Tél : 071 34 72 98 
Fax : 026 90 26 80 
 
ZERMICHE ATHMANE 
Electricité et gaz 
RN 5 Taourirt 
 
ZOUGGAGH OMAR 
Electricité et gaz 
Cité 48/200 logts., Bt A, Kariria 
 
Nouvelles technologies
 
 
Global Technologies Solutions Algeria,Sarl( GTSA )  
Village Ben Brahim  
10210 Bouderbala,lakhdaria. 
 
 
TELECOMMUNICATIONS
 
 
 
 
Algerie telecom 
 
Rue Hammama Omar 
lakhdaria 
tel (026)90.10.10 (026)90.13.24  
 
Distributeurs et Vendeurs de puces et de portables, c'est votre coin !! 
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TELEPHONE MOBILE ALGERIE
 
 
 
 
 
 
 
 
Algérie Télécom Satellite  
 
Une nouvelle societé publique !! mabrouk alina !! il n'est jamais trop tard, devant la croissance de l'economie des télécom, on attend d'admirer son logo ! en attendant, El moudjahid, notre dinosaure de quotidien national, nous alimente en informations....ministerielles, indecrottable !!  
 
 
 
Station hertzienne de télecommunications,en fonction depuis une trentaine d'année, visible par le public de la région,la Gare routiére de Lakhdaria vient juste d'étre construite en face au bord de la route nationale. 
 
 
Haïchour inspecte la station terrienne de communication par satellite de Lakhdaria  
 
Par : EL MOUDJAHID Le : samedi 09 septembre 2006  
 
M. Boudjemaa Haichour, a inspecté hier, la station terrienne de communication par satellites de Lakhdaria (Bouira). 
"Ce complexe a atteint, durant ces trois dernières années, une diversité technologique telle, qu’il est considéré aujourd’hui comme le plus grand, non seulement à l’échelle maghrébine, mais aussi à l’échelle continentale", a souligné M. Haichour en visitant les équipements de cette station. 
Tout en poursuivant sa visite, il a affirmé "qu’une modernisation de ce centre est en cours afin d’être en phase avec les développements enregistrés en la matière". 
Le ministre a ensuite ajouté que "l’Algérie a toujours opté pour la diversification en matière de coopération technologique", et de tout temps est restée ouverte à l’investissement étranger, fait la qualifiant, a-t-il dit, à occuper une "place distincte à l’échelle mondiale".  
M. Haichour a évoqué par la suite l’entreprise Algérie Télécom, dont, a-t-il dit, "la création s’insère dans le cadre des réformes du secteur qui aboutiront à son autonomie totale, tant sur le plan matériel qu’humain", tout en notant qu’à ce jour d’importantes améliorations ont été apportées en matière de raccordement téléphonique et d’extension du réseau notamment, avec à la clé près de 18 millions d’abonnés au téléphone mobile et 2.700.000 autres au téléphone fixe. 
M. Haichour a poursuivi sa visite par l’inspection des autres équipements de ce complexe, s’étendant sur un superficie de 05 hectares et comptant 08 stations dont une agence de navigation maritime et la station Arabsat, et ou il devait proposer d’y réaliser également un centre de recherches et de développement. 
 
 
Algérie Télécom Satellite est née  
 
Par : Hamida B. Le : samedi 09 septembre 2006  
El moudjahid.  
 
ATS classée 9e provider national du Thuraya dans le monde en 2005 
Les abonnés au mobile ont atteint 18,6 millions à la fin juillet 
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour a présidé hier dans l’après-midi la cérémonie officielle de la création de Algérie Télécom Satellite (ATS), une filiale du groupe d’Algérie Télécom, créée lors de l’assemblée générale du groupe tenue le 29 juillet dernier, à la tête de laquelle a été installé Mahieddine Maâche, en sa qualité de président-directeur général. 
Spécialisée dans les télécommunications spatiales, cette nouvelle filiale du groupe public, qui s’apprête à ouvrir son capital et à lancer un emprunt obligataire, offre une couverte globale via le satellitaire à travers les technologies du VSAT, Thuraya, GPS et autres. 
Des solutions dites réductrices de la fracture numérique et qui se présentent par ailleurs comme moyen efficace pour la continuité des communications et le désenclavement des zones rurales en remédiant à la faible densité des réseaux déjà existants. 
C’est en 1975 que l’Algérie a lancé son premier réseau de télécommunications par satellite assurant la desserte téléphonique et télévisuelle et qui était constitué alors d’une station HUB implantée à Lakhdaria et de 47 stations terriennes installées à l’intérieur et au sud du pays. En 2002 et dans le cadre de la relance économique, un programme de numérisation des ces stations a été mis en place, lequel programme a été suivi par la mise en fonctionnement d’une station terrienne (ARABSAT) et d’une station côtière (INMARSAT) qui assurent la prise en charge des relations téléphoniques avec les pays arabes, de l’acheminement du trafic en provenance des réseaux terrestres vers les terminaux INMARSAT ainsi que des appels de détresse et d’assistance en mer. Après la libéralisation du marché des TIC, trois licences d’exploitation du réseau VSAT et trois autres du réseau GMPCS ont été accordées à des opérateurs entre 2004 et 2005. Ces deux segments du marché qui se sont avérés très florissants et très demandés par les pétroliers et les banquiers et bien d’autres secteurs d’activité ont totalisé à la fin du mois de juillet dernier 3000 stations VSAT installées au niveau des banques et autres institutions par les trois opérateurs du réseau alors que les trois autres promoteurs du GMPCS ont atteint 2500 abonnés, dont 1134 chez ATS qui détient 80e ce marché (GMPCS) et le même taux d’abonnés au Thuraya, ce qui l’a classé en 2005 comme 9e provider national de Thuraya dans le monde. Ayant rejoint l’Organisation régionale africaine de communications par satellites (RASCOM) créée en mai 1992, l’Algérie a retenu, en outre, dans le cadre de son programme national spatial le lancement, dans les prochaines années, du satellite ALCOM-SAT et ce, après la mise en orbite par l’Agence spatiale algérienne (ASAL) du premier satellite d’observation de la terre ALSAT1, laquelle agence s’apprête aussi au lancement de deux satellites de 2e génération (ALSAT 2A et ALSAT 2B), dont le premier est en cours de construction à l’étranger et le deuxième sera fabriqué au niveau local. En accordant une importance certaine à cet autre volet des télécommunications modernes l’Algérie affiche, estime le ministre, sa ferme volonté de renforcer son réseau national fort de 30.000 km de fibres optiques ouvrant davantage plus grandes les autoroutes du réseau multiservice à très haut débit et d’accroître davantage la connectivité au téléphone qui a atteint à la fin juillet 65,4dont 56,4e télédensité du téléphone mobile (18,6 millions d’abonnés) et 9u fixe (3 millions d’abonnés).  
 
Le nouveau système GPS sur orbite  
 
Farid B.  
mercredi 25 janvier 2006  
 
a La direction générale d’Algérie Télécom Satellite a organisé, hier matin, en son siège, sis à El Mohammadia, une présentation du nouveau système GPS, utilisé actuellement en Amérique du Nord (Canada- EMS) et Centrale jusqu’à 250 miles des côtes. Ce système GPS est utilisé dans différents services civils et militaires, de secours, de contrôle des pétroliers, ouverture et fermeture des magasins à distance... La présentation a été faite par le directeur d’EMS SATCOM, M. Dave Douglas et le vice-président d’INSITE, M. Bruce Cowser. Ce système existe depuis longtemps, par exemple, le mobile Thuraya est relié au système GPS et le système est également disponible au niveau des magasins, mais le système développé dans la région de l’Amérique du Nord est beaucoup plus sophistiqué, où il est utilisé largement par les militaires et les compagnies pétrolières pour gérer les flottes terrestres et maritimes. 
Il permet des communications bidirectionnelles en temps réel de messagerie, de suivi et de surveillance, ce n’est pas seulement le positionnement. On peut communiquer avec le service transport d’une entreprise pour optimiser la gestion d’une flotte. Il faut juste installer un terminal sur le véhicule et au niveau du siège de la compagnie un serveur. Pour ce qui est de la cartographie, elle sert à suivre le véhicule d’un point à un autre sur tout le territoire national et jusqu’au niveau de toute la région Europe et Amérique. 
Le directeur général d’Algérie Télécom Satellite. M. Mahieddine Maâche, fait savoir que son entreprise vise à travers la possibilité d’offrir ce système non seulement à optimiser sa rentabilité mais aussi à réaliser l’objectif qu’elle s’est assignée à savoir celui de faire profiter le pays des retombées les plus récentes des technologies de l’information et de la communication. 
Pour ce faire, a-t-il souligné, il faut un minimum pour démarrer, c’est-à-dire au moins une commande ferme de 2.000 terminaux et qu’une fois ce seuil atteint, il faut 4 mois pour installer le système, dans le maximum 16 semaines le système est fonctionnel. 
En ce qui concerne le coût, il indiquera qu’il est tributaire du nombre de terminaux, «il faut compter 1.500 dollars le terminal, et 40 dollars par véhicule comme abonnement mensuel». Il relève également qu’il n’y a pas seulement les véhicules et que son utilisation peut s’élargir aux magasins où il sera possible de contrôler l’ouverture et la fermeture à distance, aussi dans les transports de fonds, le banquier peut avoir un code de la serrure du véhicule, il défini par exemple que le coffre doit être ouvert lorsqu’il sera arrivé à telle agence, avant qu’il n’arrive à ladite agence personne ne peut l’ouvrir. On peut éventuellement bloquer les freins d’un conteneur à distance... Il y a une panoplie d’utilisations, a-t-il précisé. On a profité de l’existence chez nous d’une station en Algérie, a expliqué M. Maâche il est possible d’utiliser ce système grâce à la station de Lakhdaria qui offre la possibilité d’utiliser la technologie satellite en bande L, «en fait, on utilise seulement l’antenne pour faire la liaison entre le terminal et le centre de traitement, le terminal envoie un signal à travers le satellite et le signal sera reçu à la station de Lakhdaria qui va transmettre vers le centre de traitement qui est à Lakhdaria. Actuellement le système de traitement se trouve à Ottawa, mais si on veut installer le système traitement ici, cela reviendra à 1 million de dollars US», a-t-il ajouté. 
 
 
 
Reseau routier 
 
 
Les défis du 21e siècle 
 
Du point de vue de sa position géographique, à une centaine de km de la capitale et carrefour de desserte sur les wilayas de l’Est et du Sud-Est, la wilaya de Bouira dispose de beaucoup d’atouts stratégiques. 
 
Par Amar Naït Messaoud 
 
D’une superficie de 4 454 km2, Bouira est considérée comme l’une des plus vastes wilayas du nord, chevauchant sur le Tell et les Hauts-Plateaux du centre. Sur sa plus grande longueur, elle s’étale sur 101 km, allant de Lakhdaria à Chorfa, tandis que sur sa plus grande largeur, elle avoisine les 80 km (du Djurdjura jusqu’au sud de Dirah). Du point de vue de sa position géographique, à une centaine de km de la capitale et carrefour de desserte sur les wilayas de l’Est et du Sud-Est, la wilaya de Bouira dispose de beaucoup d’atouts stratégiques qui la placent au centre d’une dynamique régionale dont la colonne vertébrale se trouve être son réseau routier qui la met en contact avec toutes les contrées limitrophes. Un vieil adage des économistes disait que le développement vient par la route.  
La vérité de cette sentence se vérifie un peu plus chaque jour, au fur et à mesure de la croissance des échanges, de nouvelles nécessités de transport de marchandises (matières premières, produits finis...) et des voyageurs. L’enjeu est d’autant plus considérable que le nerf du transport des pays développés, à savoir le rail, est en état de stagnation chez nous depuis l’indépendance du pays. Sur certains tronçons, il a même subi une régression. Ce n’est qu’avec le nouveau plan de soutien à la croissance conçu par le président de la République pour les cinq prochaines années que le chemin de fer commence à être appréhendé avec une autre vision. Sur ce plan, la wilaya de Bouira sera directement touchée par la ligne à grande vitesse (LGV), programmée entre Bordj Bou Arréridj et Khemis Méliana (sur 240 km). Restera alors à réactiver l’ancien projet de réhabilitation de la ligne Bouira-Sour El Ghozlane qui avait alimenté la chronique des années durant, mais dont on n’aperçoit pas encore le moindre signe. 
Le réseau routier total de la wilaya de Bouira est évalué, d’après les dernières statistiques officielles, à 2 225 km, dont 36ont des chemins de wilaya, 48es chemins communaux et 16es routes nationales. Les trois catégories, en plus des chemins vicinaux et pistes rurales et agricoles, représentent l’ossature du développement, la condition sine qua non du désenclavement des territoires.  
Les principales routes nationales qui traversent la wilaya de Bouira sont : la RN5 (Alger-Constantine), de loin la plus importante du point de vue du nombre de wilayas desservies et de la densité du trafic, la RN18 (Bouira-Khemis Miliana via Berrouaghia), la RN8 (Alger-Bousaâda via Tablat), les trois routes de montagnes (RN30, 33 et 15) qui relient Bouira à Tizi Ouzou par les cols de Tizi N’Kouilal et Tizi N’tirourda. Entre Chorfa et Toghza, un petit tronçon de la RN 26 fait la jonction avec la wilaya de Béjaïa, dans la vallée de la Soummam. 
Chaque axe routier de cette catégorie souffre de problèmes spécifiques. La route de Constantine est connue pour son trafic et les goulots d’étranglement légendaires au niveau de certaines localités, comme El Esnam et la gare d’Aomar, ce qui entraîne des accidents souvent mortels. Les routes de montagnes sont connues pour l’étroitesse de leur chaussées, les virages en fer à cheval et la dégradation de leur revêtement. L’exemple le plus éloquent en la matière demeure la RN15. Certains de ses tronçons, situés entre le Col de Tirourda et le village de Takerboust ont subi de tels dommages, sous forme d’excavations et de glissements de terrain, qu’il dissuaderaient le plus téméraire des automobilistes. La construction de la chaussée ne répond plus au tonnage charrié par le trafic des poids lourds chargés souvent de matériaux de construction et l’excès d’eau issu de la fonte des neiges exige des travaux de drainage bien avant la réfection des passages busés et des fossés. 
Pour ce qui est de la RN8, il faut rappeler ici qu’elle était fermée à la circulation au niveau de la wilaya de Médéa (territoire de Tablat) dès le milieu des années 90, et ce en raison de l’insécurité qui y prévalait.  
Ce n’est que ces dernières années que le trafic y a repris. Des travaux d’aménagements y ont été menés pour élargir la voie, refaire le revêtement et reprofiler certains virages. Actuellement, elle est la route nationale la plus fluide de la wilaya de Bouira. Quant à la RN18, la pression de son trafic est ressentie entre Bouira et Aïn Bessem, tronçon qui subit actuellement des travaux d’aménagement. La circulation sur son prolongement qui va en direction de Béni Slimane et Berrouaghia, reste pour l’instant assez modeste. 
Deux autres petits tronçons de routes nationales se trouvent dans des zones de montagnes ou de collines et qui, par conséquent, posent des problèmes spécifiques liés à la nature de ces terrains : il s’agit de la RN29 (Lakhdaria-Blida via Keddara) et la RN25 (Aomar-Dellys via Draâ El Mizan).  
Cette dernière s’allonge sur environ 10 km dans le territoire de la wilaya de Bouira. Virages difficiles, chaussée étroite et défoncée par endroits, trafic intense en direction de Tizi Ouzou, tels sont les aléas de cet axe routier stratégique pour l’économie des deux wilayas qu’il dessert. 
Les voies les plus dégradées demeurent incontestablement celles qui sont classées dans les catégories “chemin de wilaya” et “chemin communal”. Il est impossible de citer dans les limites d’un article de presse les désagréments et les dangers qui guettent les voyageurs, les transporteurs et automobilistes sur ces chemins longtemps laissés-pour-compte. Nous pouvons citer, à titre d’exemple, le CW93 qui passe entre Maâla et Zbarbar pour aboutir à Guerrouma. Prenant naissance à Lakhdaria, il longe Oued Bouamoud et rejoint, au sud, la RN8 dans la banlieue de Tablat.  
C’est, sur plus de 30 km, le type de route de montagne par excellence. Pendant les années chaudes du terrorisme, cet axe routier était pris en otage par les groupes armés qui y enfouissaient des bombes ou des engins explosifs artisanaux (comme les bonbonnes de gaz). Couvert par des espaces forestiers assez denses, il est caractérisé par une chaussée trop étroite, des virages aigus et des excavations rendant la circulation très difficile. 
 
Par les chemins du développement 
 
Ce n’est que récemment que certains travaux ont été entrepris sur certains axes routiers comme le CW20 (Sour El Ghozlane-Bordj Okhriss) qui fait partie de l’ancienne voie romaine allant de Berrouaghia à El M’hir et le CW24 (Bechloul-Sidi Aïssa en cours d’aménagement entre El Hachimia et Sour El Ghozlane) est actuellement en cours d’aménagement entre El Hachimia et Sour El Ghozlane. Mais le trafic infernal que connaît cet axe routier depuis au moins deux ans (transport vers le Sud-Est du pays, transport des produits de carrières et des matières premières que celles-ci utilisent, circulation de bétaillères et de “cocottes” de ciment...) exige une nouvelle plate-forme à construire selon les normes adaptées à la densité et au tonnage du trafic. 
Le grand espoir des habitants et des opérateurs économiques de la wilaya de Bouira demeure ce projet mythique, mais qui prend de plus en plus les aspects d’une réalité tangible : le projet d’autoroute qui fait partie du grand projet national “Autoroute Est-Ouest” (sur  
1 200 km). Le territoire de la wilaya de Bouira est concerné sur 101 km. Une partie est déjà livrée à la circulation. Il s’agit des tronçons allant de Lakhdaria à l’entrée d’Aomar et de Zeboudja à Bouira.  
Les autres partis limitrophes de ces deux tronçons sont tributaires de grands ouvrages d’art (viaducs et tunnels) qui seront livrés probablement avant la fin de l’année en cours. Sur la partie est, le tronçon entre Bouira et El Adjiba, long de 26 km, voit l’avancement des travaux de route atteindre les 50t celui des travaux des ouvrages d’art atteindre les 60L’exécution des travaux sur terrain a enregistré des retards dus essentiellement aux intempéries de l’hiver rigoureux 2004/2005 et aux procédures d’indemnisations des propriétaires des terrains sur lesquels passe l’itinéraire de l’autoroute. 
Malgré les retards enregistrés par la wilaya en infrastructures routières au cours des quinze dernières années, d’immenses efforts sont actuellement déployés pour les rattraper et mettre la wilaya au diapason de ses ambitions de développement économique et social global. 
 
A. N. M 
 
WILAYA DE BOUMERDES
 
 
 
MODERNISATION DU RESEAU ROUTIER  
 
Des projets structurants 
 
De par sa position géographique privilégiée au centre du pays, la wilaya de Boumerdès est, à l’Est, la porte d’entrée (ou de sortie) de l’Algérois donc historiquement seul carrefour des échanges politiques, culturels et économiques entre, d’une part, la capitale et, d’autre part, la Haute- Kabylie, la Petite-Kabylie, l’est et le sud-est du pays. 
Cette situation lui offre une chance pour tirer avantage des réseaux routiers que l’Etat est obligé de mettre en place pour détendre l’étranglement dans lequel se trouve la route algérienne et qui ne peut plus durer au risque de devenir un lourd handicap au développement de la partie centrale du nord du pays, voire bien au-delà. Il est à noter que le couloir, de moins de 10 kilomètres, par lequel s’effectue l’essentiel des échanges énumérés plus haut, se situe dans une bande de territoire entre l’agglomération de Ammal à l’entrée ouest des gorges de Lakhdaria et la commune côtière de Zemmouri. Dans cette bande passent par ailleurs les principaux axes routiers connectant l’Algérois aux régions citées plus haut : la RN5 (Alger-Constantine), la RN24 (Alger-Azzefoun par le littoral), la RN12 (Thénia-Béjaïa), la RN29 (Boudouaoou/Bouderbal dans la wilaya de Bouira) ainsi que la RN68 (Les Issers-Kadiria dans la wilaya de Bouira). “Nous avons recensé en moyenne 100 000 véhicules/jour au niveau de Boudouaou”, nous a déclaré M. Khenak, le directeur des travaux publics de la wilaya de Boumerdès. C’est dire que les grands projets routiers que les pouvoirs publics ont décidé de lancer notamment l’autoroute Est- Ouest dont le chantier sera incessamment entamé ne visent pas plus que de combler l’immense retard enregistré dans se domaine hautement stratégique. Ces projets ont été imposés et seront lancés pour faire face à une nécessité impérieuse. Si en effet, la RN5, saturée, est devenue un problème de sécurité nationale pour le nombre d’accidents déplorés, elle est aussi un gouffre financier conséquent de son entretien quotidien. Quant à la RN24, le développement économique qu’elle pouvait et devrait porter le long du littoral de la wilaya de Boumerdès n’était pas au rendez-vous, seule la RN12 a soulagé par sa fluidité notamment la ville des Genêts. Par contre les RN68 et la 29 ne sont utilisées pour des raisons de praticabilité et de sécurité qu’en cas de grande nécessité. Donc ce programme pour résorber un tant soit peu la difficulté et relancer la modernisation des réseaux routiers et de communication interurbains, la géographie de la wilaya de Boumerdès l’a imposé pour accueillir de grands projets.  
Élargissement de la RN24 : un impact sur le développement de la pêche et du tourisme  
C’est probablement le meilleur projet affecté à la wilaya de l’ex- Rocher noir durant cette dernière décennie. Il ne manquera sûrement pas d’induire une mise en valeur des grandes potentialités existantes, le long du littoral de 120 km dans le secteur du tourisme balnéaire d’autant plus que les autres intrants nécessaires pour l’essor industriel de ce secteur existent déjà tels : l’électricité, le gaz et l’eau. C’est les ZET (zone d’expansion touristique) de Boudouaou-El-Bahri, Corso, Boumerdès, Thénia, Zemmouri, Cap-Djenet, Sidi-Daoud, Dellys et Afir qui prendront, à moyen terme, une plus-value économique. Les travaux de l’élargissement ont commencé à partir de Boudouaoou-El-Bahri, d’où débute la partie qui traverse la wilaya de Boumerdès. Le nouvel itinéraire, avec dédoublement, contournera les localités de Corso et de Boumerdès. Ce nouveau tracé mettra en valeur des centaines d’hectares de terres non fertiles qui deviendrons à court terme urbanisables. L’évitement tirera donc le développement de Corso mais surtout l’extension de la ville de Boumerdès, qui étouffe à cause de la rareté du foncier, vers le sud. Au niveau de la commune de Benchoud, cette route sera déviée sur 8 kilomètres pour faire jonction avec la RN25 (Baghlia - Tizi-Ouzou) au sud-est de la ville de Dellys. C’est en conséquence cette dernière cité millénaire qui sera autant soulagée. Selon, M. Khenak, ce tronçon situé à l’extrême- est de la wilaya sera mis au service des automobilistes dès le mois d’avril 2007. Pour l’heure l’Etat a dégagé, selon le directeur des travaux publics, 1 460 MDA. En dépit de ces efforts des pouvoirs publics des goulots risquent cependant d’atténuer quelque peu les bonnes intentions des autorités. L’élargissement au niveau de l’agglomération d’El-Kerma pose en effet un problème. Mais surtout, c’est la traversé de la ville de Cap-Djenet qui deviendra pour les automobilistes un casse-tête chinois, particulièrement durant la saison estivale. A l’indisponibilité de la largeur suffisante de la route s’ajoute l’anarchie conséquente à la mauvaise gestion de cette commune. La solution radicale coûtera, au vu de la nature accidentée du terrain dans l’arrière-pays de cette localité, très chère mais elle est nécessaire d’autant plus que le port de pêche de plaisance est en construction dans cette municipalitée. De plus les autorités veulent étoffé leur argumentaire pour essayer de convaincre, une autre fois, les décideurs nationaux de l’éventualité de l’implantation d’un pôle de développement industriel sur la plaine localisée entre Zemmouri, Leghata et Cap- Djenet. A ce propos cette plate-forme devait accueillir la construction d’une raffinerie de pétrole, mais pour des raisons strictement régionalistes ce projet a été transféré vers l’ouest du pays (nous y reviendrons plus tard). Donc les autorités de la wilaya ont prévu le dédoublement du CW123 (Bordj- Menaïel - Cap-Djenet) qui servira également de voie de connexion entre la RN24 et la RN12.  
Rocade Boudouaou-Zeralda  
Longue de 65 km en deux voies carrossables, cette route, dont les travaux seront bientôt lancés, prend départ de la sortie est de la ville de Boudouaou pour contourner par le sud, celle de Ouled-Moussa pour finalement sortir de la wilaya de Boumerdès au niveau du sud de la ville de Hamadi. Elle aura pour fonction, en plus de plusieurs pénétrantes vers les zones d’activité, de faire la connexion entre le flux automobile vers la Haute-Kabylie et l’autoroute Est-Ouest. L’intérêt pour la wilaya de Boumerdès dans cet ouvrage est que plusieurs parties des communes de Boudouaoou, Keddara, Kherrouba, Ouled- Moussa, Khemis-El-Khechna seront désenclavés. Cette nouvelle donnée permettra de gagner des superficies importantes pouvant être versées à de nouveaux créneaux de développement dans ces régions comme par exemple la reprise du projet de la construction de la nouvelle ville de Sidi- Halou au sud-est de Boudouaou qui compte des milliers d’hectares, certes quelque peu accidentés mais très peu productifs au plan agricole et dont l’urbanisation ne poserait certainement pas de problèmes majeurs. A l’issue de la mise en service de cet axe routier, la wilaya pourrait également relancer l’opération pour la constitution de stocks de terres urbanisables, du moins pour ce qui concerne le centre de la wilaya. A ce propos, la maîtrise de l’expansion de l’habitat se prépare sur le long terme. C’est ce qui ressort d’une observation de la Banque mondiale. Les experts de cette institution mondiale qui avaient, rappelons-le, animé, précisément à Boumerdès quelques mois avant le séisme de 2003, un séminaire sur le logement et la politique de l’urbanisation, ont en effet, vivement recommandé cette option pour une prise en charge rapide de toute demande. Précisions toutefois que cette recommandation s’adressait aux autorités supérieures du pays.  
Rocade Bordj - Menaïel-Tipasa  
Selon l’exposé sommaire que nous a présenté M. Khenak, directeur des travaux publics de la wilaya de Boumerdès, cette route, qui démarre de Bord-Menaïel pour rejoindre la ville de Tipasa à l’ouest de l’Algérois, serait une fois ouverte à la circulation automobile un moyen pour désenclaver une quinzaine de communes de la wilaya de Boumerdès. “Elle (la route) contribuera également à désenclaver la région sud-ouest de la wilaya de Tizi-Ouzou”, affirme M. Khenak. Au vu d’une première esquisse du tracé, toujours en cours d’élaboration, cette rocade passera le long du piémont de la wilaya de Boumerdès et c’est précisément l’intérêt stratégique pour la wilaya de l’ex-Rocher noir. Et pour cause ce serait à long terme le moyen pour tirer le développement de la wilaya et l’extension de plusieurs villes vers le sud de cette région toujours vierge. A noter que justement la région du piémont de la wilaya de Boumerdès a été épargnée par le tremblement de terre du 21 mai 2003. On n’a fort heureusement pas déploré de morts ni de grandes destructions dans cette partie du territoire. Si le transfert du développement vers l’arrière pays de la wilaya est décidé dans le sillage de cet axe routier, à la condition cependant qu’il soit parfaitement vers l’arrière-pays de la wilaya est décidé dans le sillage de cet axe routier, à la condition cependant qu’il soit parfaitement maîtrisé, les grands équilibres écologiques seraient préservés et par conséquent les potentialités économiques restantes, singulièrement dans les secteurs agricole et hydraulique, de la région seraient davantage mises à l’abri des destructions écologique dès lors que les plaines côtières seraient soulagées d’une partie des activités humaines. Plus encore, la future plus grande richesse de la wilaya, à savoir le tourisme balnéaire, sera mieux protégée.  
Programmes des ouvrages à l’intérieur de la wilaya  
La direction de M. Khenak a lancé plusieurs chantiers qui ne concernent que la wilaya de Boumerdès dont le plus grand est sans conteste pour l’heure l’évitement de Si-Mustapha. La chantier est d’ores et déjà lancé pour la réalisation de 2 ouvrages d’art et 2 kilomètres de routes pour 500 millions de dinars. La livraison est prévue pour fin 2007. Dans la même localité le chantier de l’évitement définitif de la ville des Issers comprenant 4 ouvrages d’art et 5 km de routes qui coûteront 1,1 millions de dinars sera également lancé. Ces réalisations renforceront la fluidité de la circulation du tronçon routier de la RN12. Les villageois de la zone montagneuse de Tisa au sud de la commune de Ammal auront leur ouvrage qui leur permettra d’entrer en toute sécurité sur la RN5. Un autre ouvrage sécurisant l’entrée ouest de la ville Laâziv/Naciria sera lancé bientôt. La réhabilitation de diverses parties des routes nationales qui traversent la wilaya de Boumerdès particulièrement les RN68, 29 a été réalisé. “Nos efforts se sont concentrés en outre sur les réparations des chemins de wilaya visant à accompagner les divers programmes d’investissement en direction des populations rurales”, explique M. Khenak qui cite les exemples des CW107 reliant Laâziv/Iwariachen et le n°154 reliant Dellys à la commune de Taourga. Ces deux localités, notons-le, sont situées sur les hauteurs dont l’accès est difficile. S’agissant des artères urbaines qui complètent le système des voies de communication routière lesquelles, rappelons-le, sont généralement très abîmées au niveau de la totalité des agglomérations de la wilaya, ce qui est régulièrement dénoncé par les citoyens, leur entretien relève, explique notre interlocuteur aux termes de la loi, de la responsabilité des communes et le financement se fait par le biais des PCD (programmes de développement communal). “Notre aide à ce secteur a été certes modeste mais présente”, assure le responsable des travaux publics. La route est, paraît-il, le premier chemin par lequel s’acheminent le progrès et la modernité vers une localité ciblée. D’aucuns ne sauraient dès lors que s’interroger : ce programme de renforcement routier du centre du pays et singulièrement de la wilaya de Boumerdès découle-t-il d’une volonté politique en vue de jeter de manière sérieuse les premiers jalons d’un progrès social durable en faveur des régions concernées ? Ou bien ne serait-ce seulement que des opérations pour parer au plus pressé qui se transformeraient par la suite en un subterfuge en vue de grossir les chiffres d’un bilan d’une mandature présidentielle déjà fort controversée ? La réponse sera connue une fois que les autres secteurs notamment la sécurité l’aménagement du territoire, l’urbanisme, l’agriculture, l’énergie, le tourisme..., se seraient déterminés par rapport à ce programme d’investissements étatiques en matière de travaux publics. L’accompagnement de ce qui semble pour l’heure une modernisation des voies de communication créera, il est permis de l’espérer, à moyen terme, une synergie en faveur de l’investissement dans cette zone. Ces investissements intéresseraient éventuellement tous les secteurs d’activité tant les opportunités sont nombreuses. Encore faudrait-il que la société politique de la wilaya de Boumerdès, toutes tendances confondues, localité qui avait accueilli, rappelons-le, la première capitale de l’Algérie post-indépendance, se réveille et fasse sa part du travail de marketing politique. Cela est une autre affaire.  
Abachi L.  
le soir d'algerie 
7.12.2006 
 
 

 

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Modifié en dernier lieu le 20.10.2007
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